Prix : EUR 8,00
RIVAGES Mystère (P) n° 17 (1995) - Michael DIBDIN L'Ultime défi de Sherlock Holmes.
This review is from : L'Ultime défi de Sherlock Holmes
Bluffant .
Avec L'ultime défi, Michael Dibdin signe un pastiche de Sherlock Holmes qui se dévore. Et pour cause : le célèbre détective de Baker Street se trouve confronté à... Jack l'éventreur ! Le duel a de quoi enthousiasmer et, le moins que l'on puisse dire, c'est que l'identité du célèbre boucher de Whitechapell en surprendra plus d'un ! Il serait du reste criminel de trop en dire : tout est tellement savoureux ici et tellement secret qu'on ne peut que difficilement évoquer ce livre ' il y a trop à craindre : donner un indice qui mangerait sur le plaisir du lecteur.Vraiment, si vous aimez Sherlock Holmes et les bonnes intrigues policières, précipitez-vous sur ce roman, vous ne serez pas déus !
Bluffant .
Avec L'ultime défi, Michael Dibdin signe un pastiche de Sherlock Holmes qui se dévore. Et pour cause : le célèbre détective de Baker Street se trouve confronté à... Jack l'éventreur ! Le duel a de quoi enthousiasmer et, le moins que l'on puisse dire, c'est que l'identité du célèbre boucher de Whitechapell en surprendra plus d'un ! Il serait du reste criminel de trop en dire : tout est tellement savoureux ici et tellement secret qu'on ne peut que difficilement évoquer ce livre ' il y a trop à craindre : donner un indice qui mangerait sur le plaisir du lecteur.Vraiment, si vous aimez Sherlock Holmes et les bonnes intrigues policières, précipitez-vous sur ce roman, vous ne serez pas déus !
L'Ultime défi de Sherlock Holmes Reviews
Intéressant ! .
Je ne suis pas particulièrement passionnée par les aventures de Sherlock Holmes (en livre ou feuilleton) mais j'ai été tentée par le résumé (Holmes contre Jack L'éventreur, a me semblait intéressant) et par le visuel de la BD.Donc, pour parler justement du visuel : Ca fait un peu bande dessinée publiée dans un vieux journal du 19ème siècle, sur du papier artificiellement vieilli et jauni. Idée sympa mais malheureusement, le tout est trop foncé à mon got. D'ailleurs, les scans qu'on peut trouver sur le net sont trompeurs car ils sont plus clairs que l'original. Cette BD aurait eu plus d'attrait avec des couleurs plus claires et je ne pense pas que a aurait nuit à l'atmosphère sombre de l'histoire.Quant à l'histoire : Je ne peux comparer cette adaptation à l'original (de Michal Dibdin) que je n'ai pas lu. Et je ne peux comparer l'ambiance générale aux aventures de Sherlock Holmes que, comme je l'ai dit plus haut, je ne connais pas vraiment. En tout cas, j'ai bien aimé l'intrigue. J'ai cru deviner qui était ce Jack l'éventreur vers le milieu du livre et puis finalement, je me suis trompé et la vérité est... surprenante !
Intéressant ! .
Je ne suis pas particulièrement passionnée par les aventures de Sherlock Holmes (en livre ou feuilleton) mais j'ai été tentée par le résumé (Holmes contre Jack L'éventreur, a me semblait intéressant) et par le visuel de la BD.Donc, pour parler justement du visuel : Ca fait un peu bande dessinée publiée dans un vieux journal du 19ème siècle, sur du papier artificiellement vieilli et jauni. Idée sympa mais malheureusement, le tout est trop foncé à mon got. D'ailleurs, les scans qu'on peut trouver sur le net sont trompeurs car ils sont plus clairs que l'original. Cette BD aurait eu plus d'attrait avec des couleurs plus claires et je ne pense pas que a aurait nuit à l'atmosphère sombre de l'histoire.Quant à l'histoire : Je ne peux comparer cette adaptation à l'original (de Michal Dibdin) que je n'ai pas lu. Et je ne peux comparer l'ambiance générale aux aventures de Sherlock Holmes que, comme je l'ai dit plus haut, je ne connais pas vraiment. En tout cas, j'ai bien aimé l'intrigue. J'ai cru deviner qui était ce Jack l'éventreur vers le milieu du livre et puis finalement, je me suis trompé et la vérité est... surprenante !
L'Ultime défi de Sherlock Holmes Opinions
From Hell .
Londres fin du 19ème siècle. Le "Napoléon" du crime et de la pègre c'est Moriarty, et Holmes est sur ses talons...Il y a des victimes en série et, cette fois, l'enquète piétine malgré la détermination de Lestrade qui n'a pas hésité un instant à solliciter l'aide de l'expert.Plus tard, deux témoins de cette époque évoquent ces moments pénibles : Watson et Conan Doyle.Sherlock Holmes aurait-il perdu ses talents exceptionnels pour mettre un terme à ces meurtres abominables. Et jusqu'où faudra-t-il aller pour traquer le coupable ?Une BD superbe, un suspense formidable et une chute... en Suisse.J'ai particulièrement apprécié le fait que le dessinateur s'inspire du Sherlock Holmes interprété par Jeremy Brett dans la série télévisée pour son personnage.Il me semble retrouver ses mimiques, ses postures, ses gesticulations, son impatience et encore tant de choses... parfaitement retranscrites et illustrées.Un ouvrage indispensable pour les fans du détective et très recommandable pour les amateurs de BD venues d'enfer (From Hell) d'où Jack l'éventreur prétendait envoyer ses lettres.
From Hell .
Londres fin du 19ème siècle. Le "Napoléon" du crime et de la pègre c'est Moriarty, et Holmes est sur ses talons...Il y a des victimes en série et, cette fois, l'enquète piétine malgré la détermination de Lestrade qui n'a pas hésité un instant à solliciter l'aide de l'expert.Plus tard, deux témoins de cette époque évoquent ces moments pénibles : Watson et Conan Doyle.Sherlock Holmes aurait-il perdu ses talents exceptionnels pour mettre un terme à ces meurtres abominables. Et jusqu'où faudra-t-il aller pour traquer le coupable ?Une BD superbe, un suspense formidable et une chute... en Suisse.J'ai particulièrement apprécié le fait que le dessinateur s'inspire du Sherlock Holmes interprété par Jeremy Brett dans la série télévisée pour son personnage.Il me semble retrouver ses mimiques, ses postures, ses gesticulations, son impatience et encore tant de choses... parfaitement retranscrites et illustrées.Un ouvrage indispensable pour les fans du détective et très recommandable pour les amateurs de BD venues d'enfer (From Hell) d'où Jack l'éventreur prétendait envoyer ses lettres.
Une histoire merveilleusement mise en images un "must" pour les fans de Brett .
Cette B.D (comme le roman dont elle s'inspire) n'appartient évidemment pas à la catégorie des pastiches canoniques, qui racontent une histoire jusqu'ici tenue secrète par Watson, en respectant scrupuleusement tout ce que l'on a appris par les récits de Conan Doyle, et les caractéristiques de ses personnages principaux. Elle est de celles qui proposent une autre vision de Watson et surtout de Holmes, ce qui amène un dénouement imprévu démentant la version des faits de Sir Arthur. Ce sont deux faons différentes de concevoir les pastiches, et chacune à ses partisans. Ce récit m'a fait penser à la pièce de Jeremy Paul, jouée par Jeremy Brett et Edward Hardwicke, et qui "révèle" que Holmes, fuyant l'ennui d au manque d'adversaires à sa mesure, a inventé le personnage de Moriarty et joué son rle. Dans les deux cas, c'est le "cté sombre" de Holmes qui est souligné, et plus particulièrement ici. L'histoire est plus pre, plus brutale que ne le sont les récits de Doyle, à cause de la présence de Jack l'éventreur, de Holmes lui-mme, des rapports entre Watson et son ami: je ne peux en dire davantage, sous peine de détruire le suspense. Cette vision de Holmes est intéressante, et prouve la fascination exercée par le personnage, qui ne cesse de susciter de nouvelles hypothèses, mais je regrette que l'enchanement des séquences soit assez difficile à saisir; pour comprendre à fond l'histoire comme elle le mérite, j'ai l'impression qu'il faudrait lire le roman original de Michael Dibdin, forcément plus développé et plus explicite. Je ne l'ai pas fait, je me suis laissée envoter par le suspense, et captiver par la beauté des images, qui ont un cachet ancien, très XIX siècle, tout comme les dialogues, très bien faits,parfaitement dans le style de Conan Doyle. J'ai apprécié de retrouver dans l'illustration, et dans des détails du scénario, la marque de la série Granada: le salon du 221b, par exemple, est reconstitué à l'identique. J'ai aimé plus encore que le dessinateur ait donné à son Holmes le visage, la silhouette, les gestes caractéristiques, l'allure, la vivacité de Jeremy Brett, qu'il caricature avec une grande justesse, mais gentiment, en ami: la B.D lui est d'ailleurs dédicacée. Si vous aimez comme moi cet acteur inoubliable, n'hésitez pas à visiter le site internet www.bafta4jb, vous y trouverez le lien vers la pétition demandant que lui soit décerné un prix Bafta (Oscar anglais) posthume. Cette B.D serait, je pense, un beau cadeau pour tous les fans de la série Granada, ravis de retrouver LEUR Holmes dans sa transposition graphique.
Cette B.D (comme le roman dont elle s'inspire) n'appartient évidemment pas à la catégorie des pastiches canoniques, qui racontent une histoire jusqu'ici tenue secrète par Watson, en respectant scrupuleusement tout ce que l'on a appris par les récits de Conan Doyle, et les caractéristiques de ses personnages principaux. Elle est de celles qui proposent une autre vision de Watson et surtout de Holmes, ce qui amène un dénouement imprévu démentant la version des faits de Sir Arthur. Ce sont deux faons différentes de concevoir les pastiches, et chacune à ses partisans. Ce récit m'a fait penser à la pièce de Jeremy Paul, jouée par Jeremy Brett et Edward Hardwicke, et qui "révèle" que Holmes, fuyant l'ennui d au manque d'adversaires à sa mesure, a inventé le personnage de Moriarty et joué son rle. Dans les deux cas, c'est le "cté sombre" de Holmes qui est souligné, et plus particulièrement ici. L'histoire est plus pre, plus brutale que ne le sont les récits de Doyle, à cause de la présence de Jack l'éventreur, de Holmes lui-mme, des rapports entre Watson et son ami: je ne peux en dire davantage, sous peine de détruire le suspense. Cette vision de Holmes est intéressante, et prouve la fascination exercée par le personnage, qui ne cesse de susciter de nouvelles hypothèses, mais je regrette que l'enchanement des séquences soit assez difficile à saisir; pour comprendre à fond l'histoire comme elle le mérite, j'ai l'impression qu'il faudrait lire le roman original de Michael Dibdin, forcément plus développé et plus explicite. Je ne l'ai pas fait, je me suis laissée envoter par le suspense, et captiver par la beauté des images, qui ont un cachet ancien, très XIX siècle, tout comme les dialogues, très bien faits,parfaitement dans le style de Conan Doyle. J'ai apprécié de retrouver dans l'illustration, et dans des détails du scénario, la marque de la série Granada: le salon du 221b, par exemple, est reconstitué à l'identique. J'ai aimé plus encore que le dessinateur ait donné à son Holmes le visage, la silhouette, les gestes caractéristiques, l'allure, la vivacité de Jeremy Brett, qu'il caricature avec une grande justesse, mais gentiment, en ami: la B.D lui est d'ailleurs dédicacée. Si vous aimez comme moi cet acteur inoubliable, n'hésitez pas à visiter le site internet www.bafta4jb, vous y trouverez le lien vers la pétition demandant que lui soit décerné un prix Bafta (Oscar anglais) posthume. Cette B.D serait, je pense, un beau cadeau pour tous les fans de la série Granada, ravis de retrouver LEUR Holmes dans sa transposition graphique.
Un Sherlock Holmes pas comme les autres .
Encore un nouveau manuscrit du Dr Watson découvert ! Le Dr Watson avait demandé à ce que celui-ci ne soit lu que 50 ans après sa mort (en 1926), tellement la révélation qu'il renferme est explosive. Holmes affronte Jack l'éventreur, mais se trouve face à un adversaire plus fort que lui.Comme Nicholas Meyer dans La solution à 7%, Dibdin s'intéresse à la consommation de cocane par le grand détective, pour en tirer des conséquences dont l'audace a provoqué quelques scandales parmi les amis de Sherlock Holmes.Le roman policier historique : Histoire et polar : autour d'une rencontre
Encore un nouveau manuscrit du Dr Watson découvert ! Le Dr Watson avait demandé à ce que celui-ci ne soit lu que 50 ans après sa mort (en 1926), tellement la révélation qu'il renferme est explosive. Holmes affronte Jack l'éventreur, mais se trouve face à un adversaire plus fort que lui.Comme Nicholas Meyer dans La solution à 7%, Dibdin s'intéresse à la consommation de cocane par le grand détective, pour en tirer des conséquences dont l'audace a provoqué quelques scandales parmi les amis de Sherlock Holmes.Le roman policier historique : Histoire et polar : autour d'une rencontre
Cons Review
iconoclaste .
S'il n'y a rien à redire sur le style et l'écriture de ce livre, il destabilise tout amateur de SH par la tournure finale. En ce cas, on reste assez amer et avec une mauvaise impression... un peu destabilisé.
S'il n'y a rien à redire sur le style et l'écriture de ce livre, il destabilise tout amateur de SH par la tournure finale. En ce cas, on reste assez amer et avec une mauvaise impression... un peu destabilisé.
Déu déu déu .
En tant que grand fan de Sherlock Holmes (je dois avoir presque tout lu sur ses aventures, que ce soit dans les romans d'origine, ou dans ceux d'auteurs beaucoup plus récents), je me devais de lire cette nouvelle enqute dont je n'ai vu jusqu'à présent que des critiques plutt très bonnes. Concernant mon got pour les romans, je n'ai quasiment jamais été déu, les auteurs ayant repris le personnage s'en étant toujours à mes yeux très bien tirés, en respectant l'univers à suspense de Conan Doyle.Le premier constat sur cet ultime défi concerne l'édition et le graphisme proprement dit : c'est très beau. Cette édition au papier artificiellement vieilli et aux graphismes vieillots est du plus bel effet. Cela donne vraiment envie de lire.Pour ce qui est de l'histoire, après une première moitié bien glauque avec une force montée en puissance, on arrive à une scène transitoire et l'apparition inopinée d'un personnage mythique de l'univers de Holmes qui rendent toute la seconde moitié d'une banalité à pleurer (j'ai deviné la fin et l'évolution des personnages à partir de ce moment, ce qui est un comble dans une aventure de Sherlock Holmes). Il y a de l'idée au final, mais la faon dont c'est raconté et/ou mis en image est complètement ratée, et vraiment à l'opposé (dans sa narration) de ce que l'on connait dans la plupart des romans. On dirait qu'il manque beaucoup de pages pour donner de la substance à la résolution de l'enqute : on a des successions de scènes sans réels liants qui plombent de manière magistrale l'intrigue.Les connaisseurs (plutt que fans) de Sherlock Holmes risquent donc de se prendre une belle douche froide à la lecture de cette adaptation. Je ne connais pas le roman d'origine (a doit tre un des rares que je n'ai pas lu), alors je n'ai malheureusement pas matière à comparer. Mais j'espère grandement que ce désastre est d à l'adaptation en BD et des trop nombreuses ellipses qui en découlent (rendant l'histoire hachée et sans grand intért dans sa seconde partie).
En tant que grand fan de Sherlock Holmes (je dois avoir presque tout lu sur ses aventures, que ce soit dans les romans d'origine, ou dans ceux d'auteurs beaucoup plus récents), je me devais de lire cette nouvelle enqute dont je n'ai vu jusqu'à présent que des critiques plutt très bonnes. Concernant mon got pour les romans, je n'ai quasiment jamais été déu, les auteurs ayant repris le personnage s'en étant toujours à mes yeux très bien tirés, en respectant l'univers à suspense de Conan Doyle.Le premier constat sur cet ultime défi concerne l'édition et le graphisme proprement dit : c'est très beau. Cette édition au papier artificiellement vieilli et aux graphismes vieillots est du plus bel effet. Cela donne vraiment envie de lire.Pour ce qui est de l'histoire, après une première moitié bien glauque avec une force montée en puissance, on arrive à une scène transitoire et l'apparition inopinée d'un personnage mythique de l'univers de Holmes qui rendent toute la seconde moitié d'une banalité à pleurer (j'ai deviné la fin et l'évolution des personnages à partir de ce moment, ce qui est un comble dans une aventure de Sherlock Holmes). Il y a de l'idée au final, mais la faon dont c'est raconté et/ou mis en image est complètement ratée, et vraiment à l'opposé (dans sa narration) de ce que l'on connait dans la plupart des romans. On dirait qu'il manque beaucoup de pages pour donner de la substance à la résolution de l'enqute : on a des successions de scènes sans réels liants qui plombent de manière magistrale l'intrigue.Les connaisseurs (plutt que fans) de Sherlock Holmes risquent donc de se prendre une belle douche froide à la lecture de cette adaptation. Je ne connais pas le roman d'origine (a doit tre un des rares que je n'ai pas lu), alors je n'ai malheureusement pas matière à comparer. Mais j'espère grandement que ce désastre est d à l'adaptation en BD et des trop nombreuses ellipses qui en découlent (rendant l'histoire hachée et sans grand intért dans sa seconde partie).
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Product Details
EAN : 9782869309913Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 8 inches
Width : 5 inches
Author : Michael Dibdin
Binding : Poche
Manufacturer : Rivages
PublicationDate : 1995-11-02
Publisher : Rivages
SKU : POL-84543
Studio : Rivages
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