Prix : EUR 13,00
This review is from : Global Frequency, Tome 1 : Planète en flammes
Une association civile désamorce des crises extraordinaires. .
Ce tome comprend les épisodes 1 à 6 de cette série qui en compte 12 ; les épisodes 7 à 12 se trouvent dans Detonation radio.Dans notre monde, il survient des situations qui requièrent l'intervention de spécialistes. L'organisation dénommée Global Frequency compte 1.001 membres (le mille et unième est recruté dans le premier épisode). Elle est gérée par une femme qui se fait appeler Miranda Zero. Les interventions des uns et des autres sont coordonnées par Aleph (une jeune femme) qui utilise un centre de communications haute technologie. Lorsqu'une situation se déclenche, Miranda Zero choisit ses agents parmi les 1.001, en fonction de leurs compétences et de leur proximité éventuelle au site de la situation. Global Frequency intervient face à des menaces surnaturelles ou qui dépassent les capacités de la police, de l'armée ou d'autres services de secours. Les intervenants peuvent tre sur le terrain, ou des consultants dont l'expertise est relayée par Aleph. Chaque épisode constitue une mission distincte. Dans ce tome, Global Frequency (GF en abrégé) intervient pour limiter les dégts occasionnés par un homme manifestant des pouvoirs parapsychiques destructeurs issu d'expériences menées par l'ex-URSS, mettre un terme à l'existence d'un homme bionique, limiter l'expansion d'un mème d'origine extraterrestre, mettre fin à une prise d'otages dans un immeuble de bureaux, comprendre l'apparition d'un ange en Norvège, et éviter la propagation d'une souche vivace du virus Ébola à Londres.Warren Ellis utilise un format classique qui évoque la série Mission : impossible (une équipe de spécialistes pour une mission que personne d'autre ne peut mener à bien), sauf que les membres de l'équipe change à chaque fois (mis à part Miranda Zero et Aleph). La trame reste identique d'épisode en épisode : Global Frequency arrive sur place, enqute et analyse et agit pour mettre un terme à la menace. C'est donc tout à l'honneur d'Ellis de réussir à développer autant d'histoires prenantes qu'il y a d'épisodes. Pour commencer, Ellis insuffle une bonne dose d'anticipation avec sa perspicacité coutumière. Sa variation sur Steve Austin ne se contente pas de plagier le concept, elle comprend également quelques réflexions sur les contraintes induites par ces améliorations bioniques. L'utilisation du concept de mème (élément culturel reconnaissable, répliqué et transmis) s'avère largement supérieur à ce qu'en avait fait Grant Morrison dans Marvel Boy. Le lecteur retrouve donc un Warren Ellis en pleine forme qui prouve sa matrise de cette forme d'histoire racontée en 1 épisode, avec des concepts qui ne se réduisent pas à des clichés. On retrouve quand mme une fois ou deux le tic d'Ellis à insérer des éléments gratuits juste pour faire genre (l'agent de GF appelé chez lui de nuit qui porte une combinaison sadomaso en latex). Le lecteur retrouve également sa capacité extraordinaire à atteindre l'équilibre parfait entre les scènes d'action et les dialogues exposant l'intrigue.Pour renforcer l'unicité de chaque mission, chaque épisode est illustré par un dessinateur différent. Gary Leach utilise un style plutt photoréaliste, sans tre encombré. Il met en scène une course poursuite de voitures très convaincante. Glenn Fabry (encré par Liam Sharp) installe l'équipe de GF dans un laboratoire souterrain convaincant et il donne une forme imposante et terrifiante à l'homme bionique, complétant parfaitement le scénario. Steve Dillon emmène les illustrations vers un style réaliste, mais plus dépouillé. Il matrise mieux ses raccourcis graphiques que d'habitude, mme si le lecteur a l'impression déconcertante de se retrouver dans les pages de la série "Preacher", car ce dessinateur est l'artiste d'un seul style. Roy Allan Martinez dessine des cases très sèches qui évoquent à la fois Frank Quitely (en plus dur) et John Cassaday. Les manifestations surnaturelles en Norvège sont conjurées par Jon J. Muth qui a recours à des dessins encrés. Sa capacité à évoquer un arbre en 4 traits relève aussi du surnaturel, mme s'il est un peu en dessous de ce qu'il avait pour un épisode de La veillée. Le tome se termine avec un épisode illustré par David Lloyd (l'illustrateur de V pour vendetta) qui met en images une courses contre la montre sur les toits de Londres, faon Yamakasi (ou Parkour). Il a un peu allégé ses à-plats de noir, ce qui rend les acrobaties plus légères, mais l'histoire un peu moins dense. Chacun de ses artistes appartient à la catégorie supérieure du métier et leurs illustrations ne sont pas simplement fonctionnelles.Warren Ellis et son aréopage d'illustrateurs de renom délivrent 6 histoires denses mlant action et anticipation pour un résultat dynamique et intelligent. Aucun doute, je passe au tome suivant.
Une association civile désamorce des crises extraordinaires. .
Ce tome comprend les épisodes 1 à 6 de cette série qui en compte 12 ; les épisodes 7 à 12 se trouvent dans Detonation radio.Dans notre monde, il survient des situations qui requièrent l'intervention de spécialistes. L'organisation dénommée Global Frequency compte 1.001 membres (le mille et unième est recruté dans le premier épisode). Elle est gérée par une femme qui se fait appeler Miranda Zero. Les interventions des uns et des autres sont coordonnées par Aleph (une jeune femme) qui utilise un centre de communications haute technologie. Lorsqu'une situation se déclenche, Miranda Zero choisit ses agents parmi les 1.001, en fonction de leurs compétences et de leur proximité éventuelle au site de la situation. Global Frequency intervient face à des menaces surnaturelles ou qui dépassent les capacités de la police, de l'armée ou d'autres services de secours. Les intervenants peuvent tre sur le terrain, ou des consultants dont l'expertise est relayée par Aleph. Chaque épisode constitue une mission distincte. Dans ce tome, Global Frequency (GF en abrégé) intervient pour limiter les dégts occasionnés par un homme manifestant des pouvoirs parapsychiques destructeurs issu d'expériences menées par l'ex-URSS, mettre un terme à l'existence d'un homme bionique, limiter l'expansion d'un mème d'origine extraterrestre, mettre fin à une prise d'otages dans un immeuble de bureaux, comprendre l'apparition d'un ange en Norvège, et éviter la propagation d'une souche vivace du virus Ébola à Londres.Warren Ellis utilise un format classique qui évoque la série Mission : impossible (une équipe de spécialistes pour une mission que personne d'autre ne peut mener à bien), sauf que les membres de l'équipe change à chaque fois (mis à part Miranda Zero et Aleph). La trame reste identique d'épisode en épisode : Global Frequency arrive sur place, enqute et analyse et agit pour mettre un terme à la menace. C'est donc tout à l'honneur d'Ellis de réussir à développer autant d'histoires prenantes qu'il y a d'épisodes. Pour commencer, Ellis insuffle une bonne dose d'anticipation avec sa perspicacité coutumière. Sa variation sur Steve Austin ne se contente pas de plagier le concept, elle comprend également quelques réflexions sur les contraintes induites par ces améliorations bioniques. L'utilisation du concept de mème (élément culturel reconnaissable, répliqué et transmis) s'avère largement supérieur à ce qu'en avait fait Grant Morrison dans Marvel Boy. Le lecteur retrouve donc un Warren Ellis en pleine forme qui prouve sa matrise de cette forme d'histoire racontée en 1 épisode, avec des concepts qui ne se réduisent pas à des clichés. On retrouve quand mme une fois ou deux le tic d'Ellis à insérer des éléments gratuits juste pour faire genre (l'agent de GF appelé chez lui de nuit qui porte une combinaison sadomaso en latex). Le lecteur retrouve également sa capacité extraordinaire à atteindre l'équilibre parfait entre les scènes d'action et les dialogues exposant l'intrigue.Pour renforcer l'unicité de chaque mission, chaque épisode est illustré par un dessinateur différent. Gary Leach utilise un style plutt photoréaliste, sans tre encombré. Il met en scène une course poursuite de voitures très convaincante. Glenn Fabry (encré par Liam Sharp) installe l'équipe de GF dans un laboratoire souterrain convaincant et il donne une forme imposante et terrifiante à l'homme bionique, complétant parfaitement le scénario. Steve Dillon emmène les illustrations vers un style réaliste, mais plus dépouillé. Il matrise mieux ses raccourcis graphiques que d'habitude, mme si le lecteur a l'impression déconcertante de se retrouver dans les pages de la série "Preacher", car ce dessinateur est l'artiste d'un seul style. Roy Allan Martinez dessine des cases très sèches qui évoquent à la fois Frank Quitely (en plus dur) et John Cassaday. Les manifestations surnaturelles en Norvège sont conjurées par Jon J. Muth qui a recours à des dessins encrés. Sa capacité à évoquer un arbre en 4 traits relève aussi du surnaturel, mme s'il est un peu en dessous de ce qu'il avait pour un épisode de La veillée. Le tome se termine avec un épisode illustré par David Lloyd (l'illustrateur de V pour vendetta) qui met en images une courses contre la montre sur les toits de Londres, faon Yamakasi (ou Parkour). Il a un peu allégé ses à-plats de noir, ce qui rend les acrobaties plus légères, mais l'histoire un peu moins dense. Chacun de ses artistes appartient à la catégorie supérieure du métier et leurs illustrations ne sont pas simplement fonctionnelles.Warren Ellis et son aréopage d'illustrateurs de renom délivrent 6 histoires denses mlant action et anticipation pour un résultat dynamique et intelligent. Aucun doute, je passe au tome suivant.
Global Frequency, Tome 1 : Planète en flammes Reviews
Etes-vous sur Global Frequency ? .
Scénariste de renom dans le monde du comic américain grce à des séries comme Transmetropolitan ou Planetary, Warren Ellis s'associe avec douze dessinateurs l'espace d'une minisérie de douze épisodes, intitulée Global Frequency. Dans ce premier volume, sous-titré Planète en flammes, édité par PaniniComics, on retrouve les illustres Glenn Fabry, Steve Dillon, David Lloyd, Garry Leach et les moins connus Roy Martinez et Jon J. Muth. Que nous réserve le britannique pour cette nouvelle uvre au sein de la collection Wildstorm ?Il nous propose de suivre une organisation mondiale semi-clandestine dirigée par la mystérieuse Miranda Zero. Nommée Global Frequency, elle assure des missions de sauvetage dans le monde entier à propos de menaces hors du commun - invasion extra-terrestre, expérience du gouvernement qui tourne mal ou encore menaces terroristes - en mettant en relation par téléphone et autres réseaux satellites ses mille et un membres éparpillés de par le globe, notamment par le concours de la jeune Aleph. Ainsi, chaque chapitre constitue une histoire indépendante autour d'un événement particulier. Et malgré son apparente parenté dans la construction avec Planetary, Global Frequency s'en démarque largement.D'abord, parce qu'il n'existe pas de continuité entre les divers chapitres, contrairement à ce que l'on retrouve dans Planetary. Ici, seuls deux personnages restent récurrents : Miranda Zero et Aleph. La première apparait comme un chef froid et mystérieux tandis que la seconde, avec son look de punk et son humour omniprésent ajoute un peu de relief à l'organisation elle-mme. Pourtant, à chaque aventure, les protagonistes changent selon le modus operandi, faisant appel à des individus aux talents particuliers à travers le monde. De ce fait, le lecteur a peu l'occasion de s'attacher aux héros de chaque volet et cela amoindrit grandement l'empathie qu'il serait possible d'éprouver à leur encontre. C'est d'autant plus dommage que certains affichent un vrai potentiel, comme le sniper de Big Wheel ou le magicien Alan Crowe dans un ciel immense. Au contraire, d'autres s'avèrent totalement ratés tels que les intervenants des cent du paradis. On comprend dès lors facilement l'inégalité des récits regroupés au sein de ce volume.On passe ainsi rapidement sur les cent du paradis - aventure ratée d'un groupuscule fanatique bien décidé à se faire exploser - pour mieux s'intéresser à l'excellente introduction avec le non moins excellent Garry Leach au dessin. En quelques pages, le scénariste anglais installe le réseau de sauvetage et résout une première enqute dans le mme temps. L'entrée en matière s'avère concluante. Comme dit plus haut, Big Wheel met aux prises les membres de l'organisation avec un cyborg devenu fou. A cette occasion, Ellis en profite pour égratigner les expériences illégales sur l'homme et les sales petits secrets de son gouvernement avec le ton acide qu'on lui connat, bien épaulé en cela par l'excellent dessin de Glenn Fabry (qui officie sur la fameuse série Preacher). Le scénariste anglais profite du chapitre Invasif pour revenir sur un thème qu'il adore, la liberté sexuelle. Avec un grand humour, comme il se doit. Si La course se révèle une déception avec une histoire anecdotique et un David Llyod en petite forme, ce n'est pas le cas d'un ciel immense où l'ombre de Constantine plane constamment sur le récit, le tout dépeint par le trait sombre et dur de Jon J. Muth, particulièrement adapté au sujet évoqué. Finissons par évoquer les quelques couvertures de Brian Wood qui rappelleront aux connaisseurs ses uvres sur son excellente série, DMZ.Sorte de recueil de nouvelles à la sauce comics, Global Frequency n'atteint pas le niveau des autres créations du Britannique. Pourtant, il n'en reste pas moins un agréable divertissement et une initiative illustrative originale grce au rassemblement des grands noms du milieu. N'oublions pas qu'il reste encore six épisodes dans le second volume intitulé Radio-détonation pour élever le niveau. A suivre.
Etes-vous sur Global Frequency ? .
Scénariste de renom dans le monde du comic américain grce à des séries comme Transmetropolitan ou Planetary, Warren Ellis s'associe avec douze dessinateurs l'espace d'une minisérie de douze épisodes, intitulée Global Frequency. Dans ce premier volume, sous-titré Planète en flammes, édité par PaniniComics, on retrouve les illustres Glenn Fabry, Steve Dillon, David Lloyd, Garry Leach et les moins connus Roy Martinez et Jon J. Muth. Que nous réserve le britannique pour cette nouvelle uvre au sein de la collection Wildstorm ?Il nous propose de suivre une organisation mondiale semi-clandestine dirigée par la mystérieuse Miranda Zero. Nommée Global Frequency, elle assure des missions de sauvetage dans le monde entier à propos de menaces hors du commun - invasion extra-terrestre, expérience du gouvernement qui tourne mal ou encore menaces terroristes - en mettant en relation par téléphone et autres réseaux satellites ses mille et un membres éparpillés de par le globe, notamment par le concours de la jeune Aleph. Ainsi, chaque chapitre constitue une histoire indépendante autour d'un événement particulier. Et malgré son apparente parenté dans la construction avec Planetary, Global Frequency s'en démarque largement.D'abord, parce qu'il n'existe pas de continuité entre les divers chapitres, contrairement à ce que l'on retrouve dans Planetary. Ici, seuls deux personnages restent récurrents : Miranda Zero et Aleph. La première apparait comme un chef froid et mystérieux tandis que la seconde, avec son look de punk et son humour omniprésent ajoute un peu de relief à l'organisation elle-mme. Pourtant, à chaque aventure, les protagonistes changent selon le modus operandi, faisant appel à des individus aux talents particuliers à travers le monde. De ce fait, le lecteur a peu l'occasion de s'attacher aux héros de chaque volet et cela amoindrit grandement l'empathie qu'il serait possible d'éprouver à leur encontre. C'est d'autant plus dommage que certains affichent un vrai potentiel, comme le sniper de Big Wheel ou le magicien Alan Crowe dans un ciel immense. Au contraire, d'autres s'avèrent totalement ratés tels que les intervenants des cent du paradis. On comprend dès lors facilement l'inégalité des récits regroupés au sein de ce volume.On passe ainsi rapidement sur les cent du paradis - aventure ratée d'un groupuscule fanatique bien décidé à se faire exploser - pour mieux s'intéresser à l'excellente introduction avec le non moins excellent Garry Leach au dessin. En quelques pages, le scénariste anglais installe le réseau de sauvetage et résout une première enqute dans le mme temps. L'entrée en matière s'avère concluante. Comme dit plus haut, Big Wheel met aux prises les membres de l'organisation avec un cyborg devenu fou. A cette occasion, Ellis en profite pour égratigner les expériences illégales sur l'homme et les sales petits secrets de son gouvernement avec le ton acide qu'on lui connat, bien épaulé en cela par l'excellent dessin de Glenn Fabry (qui officie sur la fameuse série Preacher). Le scénariste anglais profite du chapitre Invasif pour revenir sur un thème qu'il adore, la liberté sexuelle. Avec un grand humour, comme il se doit. Si La course se révèle une déception avec une histoire anecdotique et un David Llyod en petite forme, ce n'est pas le cas d'un ciel immense où l'ombre de Constantine plane constamment sur le récit, le tout dépeint par le trait sombre et dur de Jon J. Muth, particulièrement adapté au sujet évoqué. Finissons par évoquer les quelques couvertures de Brian Wood qui rappelleront aux connaisseurs ses uvres sur son excellente série, DMZ.Sorte de recueil de nouvelles à la sauce comics, Global Frequency n'atteint pas le niveau des autres créations du Britannique. Pourtant, il n'en reste pas moins un agréable divertissement et une initiative illustrative originale grce au rassemblement des grands noms du milieu. N'oublions pas qu'il reste encore six épisodes dans le second volume intitulé Radio-détonation pour élever le niveau. A suivre.
Global Frequency, Tome 1 : Planète en flammes Opinions
OVNI .
Global Frequency, c'est un réseau mondial de 1001 personnes, qui peuvent tre appelées à la rescousse immédiatement par la tte pensante du réseau, selon le danger à conscrire, et selon les talents du personnage.Ce sont donc plusieurs histoires, toutes liées par un thème central, qui se déroulent n'importe où sur terre, et dans chacune desquelles l'on découvre en permanence de nouvelles ttes et de nouvelles situations.Les scénarios vont très loin, soutenus par des dessins variés et fort, rappelant parfois Sienckiewicz, le tout n'hésitant à franchir la barrière de la moralité, comme par exemple "Walking Dead", qui constitue avec d'autres ("Preacher", "Desolation Jones", "Transmetropolitan") une nouvelle vague que rien n'arrte, un peu à la manière des nouveaux criminels slaves qui ne reculent devant rien.Et a prend aux tripes.Autant le 1er tome, s'il est parfois un tantinent confus, car il vous plonge sans ménagement dans son univers à part, surprend et désaronne, séduit et déstabilise, il reste "soft" par rapport au Tome 2, qui lui se lche complètement... ahurissant !Je recommande donc chaudement cette série naissante qui deviendra un classique, c'est sr.WOW quelle claque !
OVNI .
Global Frequency, c'est un réseau mondial de 1001 personnes, qui peuvent tre appelées à la rescousse immédiatement par la tte pensante du réseau, selon le danger à conscrire, et selon les talents du personnage.Ce sont donc plusieurs histoires, toutes liées par un thème central, qui se déroulent n'importe où sur terre, et dans chacune desquelles l'on découvre en permanence de nouvelles ttes et de nouvelles situations.Les scénarios vont très loin, soutenus par des dessins variés et fort, rappelant parfois Sienckiewicz, le tout n'hésitant à franchir la barrière de la moralité, comme par exemple "Walking Dead", qui constitue avec d'autres ("Preacher", "Desolation Jones", "Transmetropolitan") une nouvelle vague que rien n'arrte, un peu à la manière des nouveaux criminels slaves qui ne reculent devant rien.Et a prend aux tripes.Autant le 1er tome, s'il est parfois un tantinent confus, car il vous plonge sans ménagement dans son univers à part, surprend et désaronne, séduit et déstabilise, il reste "soft" par rapport au Tome 2, qui lui se lche complètement... ahurissant !Je recommande donc chaudement cette série naissante qui deviendra un classique, c'est sr.WOW quelle claque !
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Product Details
EAN : 9782809400069Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 11 inches
Width : 7 inches
Author : Warren Ellis
Binding : Broché
Manufacturer : Panini Comics
PublicationDate : 2007-02-07
Publisher : Panini Comics
SKU : 9782809400069_SOCA_US
Studio : Panini Comics
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