Prix : EUR 14,90
This review is from : Crossed : Valeurs familiales
Zombies vicieux barbares et obscènes .
La famille Pratt est propriétaire d'un ranch pratiquant l'élevage de chevaux avec une bonne réputation. Il y a Joe (le père), la mère, et leurs 10 enfants (Adaline, Emily, Joseph l'ainé, Matthew, Eli, Kayleen, Hannah, John, Paul et Merrily). Alors que l'histoire commence, Adaline a décidé de tuer son père car ce dernier abuse sexuellement d'Emily (l'une des soeurs d'Adaline). L'entretien ne se passe pas comme elle l'avait prévu, et avant qu'elle ne puisse échafauder un autre plan le ranch subit l'assaut d'une horde de Crossed (des zombies d'une espère vicieuse et semi-intelligente). Joe (le père) organise les hommes pour qu'ils contiennent la horde, le temps que les femmes organisent l'évacuation. Quatre membres de la famille Pratt trouve la mort lors de cet assaut, ainsi que plusieurs employés du ranch. Après une période de fuite ardue, la troupe réussit à semer les Crossed, et s'installe dans un lieu au calme, dans un lieu naturel à l'écart. Cette petite communauté essaye de recréer une vie en société sédentaire, tout en envoyant régulièrement des éclaireurs (dont Adaline, redoutable tireuse) observer les Crossed pour apprendre leurs faiblesses et leur mode de vie. La pérennité de la communauté semble assurée, grce à Joe, un meneur né.Dans Crossed, Tome 1, Garth Ennis avait créé une race de zombies particulièrement vicieux. Ils se distinguent facilement parce que la peau de leur visage est marquée d'une éruption cutanée en forme de croix, et en plus ils ne se contentent pas de manger de la chair frache (ou avariée) et de la matière cervicale, ils ont également un comportement dépravé et barbare, repoussant les limites de l'inhumanité. Garth Ennis est resté propriétaire des droits du concept Crossed, et il a laissé la possibilité à d'autres créateurs de l'utiliser. David Lapham a pris sa suite pour ce tome, un épisode en 3D, et d'autres encore d'autres épisodes (Psychopath). Cette série est à réserver à des lecteurs très avertis car elle donne dans le gore, le crade, et l'abject.David Lapham (scénario) et Javier Barreno proposent un récit qui respecte à la lettre les fondations creusées par Garth Ennis, en mme plus gore et plus immonde. Les zombies se repaissent de chair frache sur l'os et perpétuent des actes de barbarie graphiques. On peut mme dire que Barreno augmente la dose : nudité frontale, copulation forcée entre Crossed et humain, ou entre 2 Crossed, de la tripaille, du sang, des coups de feu tirés à bout portant, de la matière cervicale qui gicle. Ce récit n'est pas seulement à déconseiller aux mes sensibles, mais aussi aux lecteurs qui n'ont pas de got pour ce genre de récit. Le style de Barreno est professionnel, sans beaucoup de détails ou de réalisme photographique. Mais il ne se vautre pas non plus dans l'exagération outrancière. Il y a ici et là un ou deux détails qui font froncer les sourcils, tels que l'anatomie des chevaux un peu fantaisiste. Mais d'une manière générale, c'est la retenue de Barreno qui rajoute à l'horreur. Les tres humains sont d'une constitution normale (pas de fantasmes sur les silhouettes féminines par exemple), avec des visages différenciés suivant les individus, mais sans beaucoup de particularités. Le contraste avec les Crossed n'en est que plus frappant car ils ont un langage corporel obscène et exagéré, et des particularités physiques exagérées comme la poitrine d'une des femmes zombies. Les illustrations de Barreno ne permettent pas aux lecteurs de se complaire dans un voyeurisme malsain, mais provoquent à plusieurs reprises un sentiment de recul devant l'horreur de ce qui est décrit, rendant le lecteur presque complice de ces actes odieux par le simple fait de les regarder.Le récit de David Lapham provoque également un malaise tenace chez le lecteur. Dès le début il montre que les actes barbares existent également chez les humains. Lapham met en scène l'ambiguté de la volonté de survie des rescapés du massacre initiale. Le prix à payer n'est plus seulement celui de sacrifier ses qualités d'tre humain pour survivre un jour de plus, mais aussi celui de devoir se raccrocher à un criminel abject comme Joe qui a violé sa fille de manière régulière. Lapham respecte les codes des histoires de zombies, avec la petite communauté devant s'organiser coute que coute pour faire face aux zombies, avec les éviscérations, avec les repas de chair frache. Il crée également une communauté peuplée d'individus ayant aussi bien des comportements individuels que collectifs. Il use savamment des agissements répugnants de Joe Pratt qui ne sont connus que de 2 ou 3. Il prouve à plusieurs reprises qu'il est capable de concevoir des scènes horribles et traumatisantes qui marquent l'esprit, pour les sévices infligés aux humains par les Crossed, ou mme entre eux. Il sait provoquer de l'empathie pour ses personnages, à commencer par les femmes (Adaline en particulier, mais elle n'est pas la seule). Il conoit des affrontements entre les membres de la famille des Pratt (certains humains, d'autres Crossed) qui prennent un sens psychologique (par exemple entre les fils et la mère).Ce deuxième récit des Crossed s'avère supérieur au premier, à la fois sur le plan de l'histoire, et sur celui des illustrations. Il est plus graphique dans ses horreurs, et plus traumatisant dans ces situations. Lapham et Barreno ne se contentent pas d'aligner les scènes de cannibalisme et de tortures, ils invitent le lecteur au sein d'une petite communauté d'individus pas tous reluisants, avec des conflits complexes, rendus encore plus compliqués par la pulsion de survie.
Zombies vicieux barbares et obscènes .
La famille Pratt est propriétaire d'un ranch pratiquant l'élevage de chevaux avec une bonne réputation. Il y a Joe (le père), la mère, et leurs 10 enfants (Adaline, Emily, Joseph l'ainé, Matthew, Eli, Kayleen, Hannah, John, Paul et Merrily). Alors que l'histoire commence, Adaline a décidé de tuer son père car ce dernier abuse sexuellement d'Emily (l'une des soeurs d'Adaline). L'entretien ne se passe pas comme elle l'avait prévu, et avant qu'elle ne puisse échafauder un autre plan le ranch subit l'assaut d'une horde de Crossed (des zombies d'une espère vicieuse et semi-intelligente). Joe (le père) organise les hommes pour qu'ils contiennent la horde, le temps que les femmes organisent l'évacuation. Quatre membres de la famille Pratt trouve la mort lors de cet assaut, ainsi que plusieurs employés du ranch. Après une période de fuite ardue, la troupe réussit à semer les Crossed, et s'installe dans un lieu au calme, dans un lieu naturel à l'écart. Cette petite communauté essaye de recréer une vie en société sédentaire, tout en envoyant régulièrement des éclaireurs (dont Adaline, redoutable tireuse) observer les Crossed pour apprendre leurs faiblesses et leur mode de vie. La pérennité de la communauté semble assurée, grce à Joe, un meneur né.Dans Crossed, Tome 1, Garth Ennis avait créé une race de zombies particulièrement vicieux. Ils se distinguent facilement parce que la peau de leur visage est marquée d'une éruption cutanée en forme de croix, et en plus ils ne se contentent pas de manger de la chair frache (ou avariée) et de la matière cervicale, ils ont également un comportement dépravé et barbare, repoussant les limites de l'inhumanité. Garth Ennis est resté propriétaire des droits du concept Crossed, et il a laissé la possibilité à d'autres créateurs de l'utiliser. David Lapham a pris sa suite pour ce tome, un épisode en 3D, et d'autres encore d'autres épisodes (Psychopath). Cette série est à réserver à des lecteurs très avertis car elle donne dans le gore, le crade, et l'abject.David Lapham (scénario) et Javier Barreno proposent un récit qui respecte à la lettre les fondations creusées par Garth Ennis, en mme plus gore et plus immonde. Les zombies se repaissent de chair frache sur l'os et perpétuent des actes de barbarie graphiques. On peut mme dire que Barreno augmente la dose : nudité frontale, copulation forcée entre Crossed et humain, ou entre 2 Crossed, de la tripaille, du sang, des coups de feu tirés à bout portant, de la matière cervicale qui gicle. Ce récit n'est pas seulement à déconseiller aux mes sensibles, mais aussi aux lecteurs qui n'ont pas de got pour ce genre de récit. Le style de Barreno est professionnel, sans beaucoup de détails ou de réalisme photographique. Mais il ne se vautre pas non plus dans l'exagération outrancière. Il y a ici et là un ou deux détails qui font froncer les sourcils, tels que l'anatomie des chevaux un peu fantaisiste. Mais d'une manière générale, c'est la retenue de Barreno qui rajoute à l'horreur. Les tres humains sont d'une constitution normale (pas de fantasmes sur les silhouettes féminines par exemple), avec des visages différenciés suivant les individus, mais sans beaucoup de particularités. Le contraste avec les Crossed n'en est que plus frappant car ils ont un langage corporel obscène et exagéré, et des particularités physiques exagérées comme la poitrine d'une des femmes zombies. Les illustrations de Barreno ne permettent pas aux lecteurs de se complaire dans un voyeurisme malsain, mais provoquent à plusieurs reprises un sentiment de recul devant l'horreur de ce qui est décrit, rendant le lecteur presque complice de ces actes odieux par le simple fait de les regarder.Le récit de David Lapham provoque également un malaise tenace chez le lecteur. Dès le début il montre que les actes barbares existent également chez les humains. Lapham met en scène l'ambiguté de la volonté de survie des rescapés du massacre initiale. Le prix à payer n'est plus seulement celui de sacrifier ses qualités d'tre humain pour survivre un jour de plus, mais aussi celui de devoir se raccrocher à un criminel abject comme Joe qui a violé sa fille de manière régulière. Lapham respecte les codes des histoires de zombies, avec la petite communauté devant s'organiser coute que coute pour faire face aux zombies, avec les éviscérations, avec les repas de chair frache. Il crée également une communauté peuplée d'individus ayant aussi bien des comportements individuels que collectifs. Il use savamment des agissements répugnants de Joe Pratt qui ne sont connus que de 2 ou 3. Il prouve à plusieurs reprises qu'il est capable de concevoir des scènes horribles et traumatisantes qui marquent l'esprit, pour les sévices infligés aux humains par les Crossed, ou mme entre eux. Il sait provoquer de l'empathie pour ses personnages, à commencer par les femmes (Adaline en particulier, mais elle n'est pas la seule). Il conoit des affrontements entre les membres de la famille des Pratt (certains humains, d'autres Crossed) qui prennent un sens psychologique (par exemple entre les fils et la mère).Ce deuxième récit des Crossed s'avère supérieur au premier, à la fois sur le plan de l'histoire, et sur celui des illustrations. Il est plus graphique dans ses horreurs, et plus traumatisant dans ces situations. Lapham et Barreno ne se contentent pas d'aligner les scènes de cannibalisme et de tortures, ils invitent le lecteur au sein d'une petite communauté d'individus pas tous reluisants, avec des conflits complexes, rendus encore plus compliqués par la pulsion de survie.
Crossed : Valeurs familiales Reviews
Vous étiez prévenu ! .
Eh oui, sur la couverture du livre il est bien écrit que ceci est violent, amoral etc... alors si vous l'ouvrez attendez-vous au pire ! et pas des moindres. Bizarrement on prend plaisir à se laisser aller dans le gore, le malsain et on se demande où il pourra encore nous amener. A prendre au second degré et avec un sourire, ne pas rechercher un fond mais juste un bon moment de lecture où on s'en prend plein la vue. Ca fait plaisir que rien ne soit censuré. On adhère ou pas
Vous étiez prévenu ! .
Eh oui, sur la couverture du livre il est bien écrit que ceci est violent, amoral etc... alors si vous l'ouvrez attendez-vous au pire ! et pas des moindres. Bizarrement on prend plaisir à se laisser aller dans le gore, le malsain et on se demande où il pourra encore nous amener. A prendre au second degré et avec un sourire, ne pas rechercher un fond mais juste un bon moment de lecture où on s'en prend plein la vue. Ca fait plaisir que rien ne soit censuré. On adhère ou pas
Cons Review
bof .
Je m'attendais encore à mieux; le dessin est pitoyable et ne déssert pas bien l'histoire qui tourne il faut le dire, pas mal en rond.
Je m'attendais encore à mieux; le dessin est pitoyable et ne déssert pas bien l'histoire qui tourne il faut le dire, pas mal en rond.
Daube et pigeons ? .
Oui...je me suis posé cette question après avoir lu ( ou plutt subi ) ce...euuuh..."truc" qu'on pourrait appeler "BD" : Est-ce une daube pour des pigeons ?J'avais lu le premier tome de Crossed qui tout en me marquant ( choquant ? ) m'avait laissé une forte impression de malaise .Ce récit horrifique mené par un scénario basique ( surfant sur la mode des récits d'infectés et de morts vivants ) possédait tout de mme un graphisme alléchant ( si j'ose dire...) .En gros cela restait bien construit au niveau du récit ainsi que sur le plan psychologique . Bref plutt pas mal dans le genre glauque-poisseux à la limite du voyeurisme malsain , mais avec tout de mme un message d'espoir et d'amour pour l'espèce humaine...donc pas complétement nihiliste .Le second tome était déjà nettement moins bon : changement de dessinateur pour des graphismes appauvris avec un scénario expédiant le fil narrateur du premier tome alors qu'on aurait pu s'attendre à une longue série de comics...un résultat : décevant !C'est alors que je tombe sur ce volet............................(les petits points sont là pour illustrer le silence , le dégout et la consternation qui m'ont accompagné lorsque j'ai lu ce tome ).Le résumé de cette bd ? :Du sexe crade (érotique mais tellement immonde et à vomir qu'on pourrait limite le classer dans la catégorie du snuff porno : incestes , viols , pédophilie , scatologie , urologie , en gros rien ne nous est épargné ) , de la torture , du meurtre ( hommes , femmes , enfants , bébés et bestiaux , tout y passe ! ) et de la tripaille bien gore à ne plus savoir quoi en faire .Le scénario ? Ah oui vous parlez du truc pondu par Lapham David qui est aussi dense qu'un tueur en série peut avoir une conscience ? J'ose espérer que son but était uniquement de se faire de l'argent ?Car on ne retient pas grand chose de tout a , si ce n'est un bon gros récit nihiliste rempli uniquement de violence , de sexe malsain et de haine.Et mme si l'excuse tient à nous à expliquer qu'il s'agit là de nous montrer ce que donnerait une espèce telle que la notre si elle suivait toutes ses pulsions , le récit ( tout comme les dessins ) semble vraiment décousu et immature .Personnellement j'attends un peu plus d'une bd que de me plonger dans démonstration de boucherie malsaine sans une once d'amour , et surtout sans ce qui fait le ciment d'une bonne bd : un scénario !Car je n'ai ressenti aucune empathie pour les personnages et à peine pour l'héroine : psychologie = zéro .Il me semble bon de rappeler qu'à la différence d'un film d'horreur , la violence est ici figé sur le papier , donc bien plus marquante ( voire traumatisante ) . Et je trouve a fou de trouver ce livre sans mme un emballage plastique , si ce n'est un auto-collant minable pour avertir les futurs lecteurs.Je n'ai rien d'un censeur mais je répète qu'il me semble hallucinant de pouvoir lire un bouquin de ce type aussi facilement...Bref , une daube indigeste pour des pigeons ( dont je fais maintenant partie ^^ ).J'espère qu'Amazon aura le courage de publier ce commentaire qui à mon sens n'est là que pour avertir certains lecteurs de la violence contenu dans cette bd ; qui je le rappelle n'est guère signalée .P.S. La bd va très bien et à retrouvée ses amies.....les ordures...et j'ai mis une étoile pour les éclairer sa descente dans le broyeur...
Oui...je me suis posé cette question après avoir lu ( ou plutt subi ) ce...euuuh..."truc" qu'on pourrait appeler "BD" : Est-ce une daube pour des pigeons ?J'avais lu le premier tome de Crossed qui tout en me marquant ( choquant ? ) m'avait laissé une forte impression de malaise .Ce récit horrifique mené par un scénario basique ( surfant sur la mode des récits d'infectés et de morts vivants ) possédait tout de mme un graphisme alléchant ( si j'ose dire...) .En gros cela restait bien construit au niveau du récit ainsi que sur le plan psychologique . Bref plutt pas mal dans le genre glauque-poisseux à la limite du voyeurisme malsain , mais avec tout de mme un message d'espoir et d'amour pour l'espèce humaine...donc pas complétement nihiliste .Le second tome était déjà nettement moins bon : changement de dessinateur pour des graphismes appauvris avec un scénario expédiant le fil narrateur du premier tome alors qu'on aurait pu s'attendre à une longue série de comics...un résultat : décevant !C'est alors que je tombe sur ce volet............................(les petits points sont là pour illustrer le silence , le dégout et la consternation qui m'ont accompagné lorsque j'ai lu ce tome ).Le résumé de cette bd ? :Du sexe crade (érotique mais tellement immonde et à vomir qu'on pourrait limite le classer dans la catégorie du snuff porno : incestes , viols , pédophilie , scatologie , urologie , en gros rien ne nous est épargné ) , de la torture , du meurtre ( hommes , femmes , enfants , bébés et bestiaux , tout y passe ! ) et de la tripaille bien gore à ne plus savoir quoi en faire .Le scénario ? Ah oui vous parlez du truc pondu par Lapham David qui est aussi dense qu'un tueur en série peut avoir une conscience ? J'ose espérer que son but était uniquement de se faire de l'argent ?Car on ne retient pas grand chose de tout a , si ce n'est un bon gros récit nihiliste rempli uniquement de violence , de sexe malsain et de haine.Et mme si l'excuse tient à nous à expliquer qu'il s'agit là de nous montrer ce que donnerait une espèce telle que la notre si elle suivait toutes ses pulsions , le récit ( tout comme les dessins ) semble vraiment décousu et immature .Personnellement j'attends un peu plus d'une bd que de me plonger dans démonstration de boucherie malsaine sans une once d'amour , et surtout sans ce qui fait le ciment d'une bonne bd : un scénario !Car je n'ai ressenti aucune empathie pour les personnages et à peine pour l'héroine : psychologie = zéro .Il me semble bon de rappeler qu'à la différence d'un film d'horreur , la violence est ici figé sur le papier , donc bien plus marquante ( voire traumatisante ) . Et je trouve a fou de trouver ce livre sans mme un emballage plastique , si ce n'est un auto-collant minable pour avertir les futurs lecteurs.Je n'ai rien d'un censeur mais je répète qu'il me semble hallucinant de pouvoir lire un bouquin de ce type aussi facilement...Bref , une daube indigeste pour des pigeons ( dont je fais maintenant partie ^^ ).J'espère qu'Amazon aura le courage de publier ce commentaire qui à mon sens n'est là que pour avertir certains lecteurs de la violence contenu dans cette bd ; qui je le rappelle n'est guère signalée .P.S. La bd va très bien et à retrouvée ses amies.....les ordures...et j'ai mis une étoile pour les éclairer sa descente dans le broyeur...
malsain amoral et choquant .
ce comic book n'a rien à faire la !!!! ce n'est que dépravation et violence gratuite, tout n'est que mort et provocation, mes sensibles s'abstenir
ce comic book n'a rien à faire la !!!! ce n'est que dépravation et violence gratuite, tout n'est que mort et provocation, mes sensibles s'abstenir
Product Details
EAN : 9782811207076Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 11 inches
Width : 7 inches
Author : Lapham David
Binding : Broché
Manufacturer : Milady
PublicationDate : 2012-01-20
Publisher : Milady
Release Date : 2012-01-20
Studio : Milady
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