
Prix : EUR 9,95

This review is from : Green Lantern, Tome 1 : Origine secrète
Abin Sur passe le flambeau à Hal Jordan. .
Ce tome fait immédiatement suite à The Sinestro Corps War 2 (en anglais) et regroupe les numéros 29 à 35 de la série mensuelle. Geoff Johns a réussi jusqu'ici un sans faute avec le retour d'Hal Jordan et il n'hésite pas prendre le risque d'emmener ses lecteurs dans le passé. Après la cataracte de révélations contenues dans "Sinestro Corps War", ce tome nous ramène au moment où Abin Sur mourant confie son anneau de Lantern à Hal Jordan.L'histoire est connue de tout le monde. Un extraterrestre dénommé Abin Sur s'écrase dans son vaisseau spatial dans une zone désertique située près de Coast City. Avant de rendre l'me, il intronise Hal Jordan dans le Green Lantern Corps et fait de lui son successeur et le responsable du secteur 2814. Hal Jordan se retrouve sur Oa pour un stage d'initiation un peu musclé avec Kilowog et il croise le chemin de Sinestro dont Abin Sur avait été le mentor. À eux deux, ils vont devoir récupérer ce qui s'est échappé du vaisseau avant son anéantissement.Les responsables éditoriaux de DC Comics ont à plusieurs reprises indiqué que les coups de poing de Superboy Prime pour s'échapper de l'espace extradimensionnel ont altéré la réalité pendant Infinite Crisis (en anglais) et que les origines définitives des héros devaient tre revues. Geoff Johns signe là un scénario exceptionnel qui reprend les éléments les plus connus de l'origine d'Hal Jordan en les complétant par des précisions sur des aspects curieux de l'histoire originelle. Par exemple, pourquoi Abin Sur voyage-t'il à bord d'un vaisseau spatial alors que son anneau lui permet de voyager dans l'espace ? Qu'est ce qui a provoqué les avaries à bord de son vaisseau ? Quels sont les liens qui unissaient Abin Sur et Sinestro ?Geoff Johns réussit à nous intéresser à une histoire que l'on croyait connatre par cur. Les relations entre Hal Jordan et Carol Ferris sont remises à plat. La transformation d'Hector Hammond est intégrée intelligemment au mythe des Lanterns. William Hand (personnage clef de Blackest Night) est également présent à ce moment charnière. Une fois ces explications fournies, Johns peut alors se permettre d'ajouter la présence d'Atrocitus sans offenser mme le plus réactionnaire des fans de la première heure.L'ensemble des 7 épisodes est illustré par Ivan Reis qui a progressé depuis les Sinestro Corps Wars. Certains visages et certaines postures restent empreintes de la marque du matre Neal Adams. D'autres cases évoquent un Alan Davis au meilleur de sa forme. Chaque page est claire et facile à lire. Les doubles pages ne sont là que pour servir l'histoire, et pas pour épater la galerie. Les personnages ont tous une identité visuelle solidement établie. Geoff Johns a trouvé un illustrateur à la hauteur de la qualité de ses scénarios.Encore une fois, Geoff Johns nous raconte une histoire (que l'on croyait déjà connatre) palpitante qui présente un équilibre parfait entre action, superhéros, humour, mythologie des Green Lantern (le secteur 666 n'est pas oublié) et psychologie des personnages. Hal Jordan est une personne qui est en colère. C'est une preuve du talent de Johns que de nous montrer comment se manifeste cette colère de manière différente en fonction de l'interlocuteur. Cette aventure à la fois humaine et cosmique se poursuit dans Rage of the Red Lanterns (en anglais).
Abin Sur passe le flambeau à Hal Jordan. .
Ce tome fait immédiatement suite à The Sinestro Corps War 2 (en anglais) et regroupe les numéros 29 à 35 de la série mensuelle. Geoff Johns a réussi jusqu'ici un sans faute avec le retour d'Hal Jordan et il n'hésite pas prendre le risque d'emmener ses lecteurs dans le passé. Après la cataracte de révélations contenues dans "Sinestro Corps War", ce tome nous ramène au moment où Abin Sur mourant confie son anneau de Lantern à Hal Jordan.L'histoire est connue de tout le monde. Un extraterrestre dénommé Abin Sur s'écrase dans son vaisseau spatial dans une zone désertique située près de Coast City. Avant de rendre l'me, il intronise Hal Jordan dans le Green Lantern Corps et fait de lui son successeur et le responsable du secteur 2814. Hal Jordan se retrouve sur Oa pour un stage d'initiation un peu musclé avec Kilowog et il croise le chemin de Sinestro dont Abin Sur avait été le mentor. À eux deux, ils vont devoir récupérer ce qui s'est échappé du vaisseau avant son anéantissement.Les responsables éditoriaux de DC Comics ont à plusieurs reprises indiqué que les coups de poing de Superboy Prime pour s'échapper de l'espace extradimensionnel ont altéré la réalité pendant Infinite Crisis (en anglais) et que les origines définitives des héros devaient tre revues. Geoff Johns signe là un scénario exceptionnel qui reprend les éléments les plus connus de l'origine d'Hal Jordan en les complétant par des précisions sur des aspects curieux de l'histoire originelle. Par exemple, pourquoi Abin Sur voyage-t'il à bord d'un vaisseau spatial alors que son anneau lui permet de voyager dans l'espace ? Qu'est ce qui a provoqué les avaries à bord de son vaisseau ? Quels sont les liens qui unissaient Abin Sur et Sinestro ?Geoff Johns réussit à nous intéresser à une histoire que l'on croyait connatre par cur. Les relations entre Hal Jordan et Carol Ferris sont remises à plat. La transformation d'Hector Hammond est intégrée intelligemment au mythe des Lanterns. William Hand (personnage clef de Blackest Night) est également présent à ce moment charnière. Une fois ces explications fournies, Johns peut alors se permettre d'ajouter la présence d'Atrocitus sans offenser mme le plus réactionnaire des fans de la première heure.L'ensemble des 7 épisodes est illustré par Ivan Reis qui a progressé depuis les Sinestro Corps Wars. Certains visages et certaines postures restent empreintes de la marque du matre Neal Adams. D'autres cases évoquent un Alan Davis au meilleur de sa forme. Chaque page est claire et facile à lire. Les doubles pages ne sont là que pour servir l'histoire, et pas pour épater la galerie. Les personnages ont tous une identité visuelle solidement établie. Geoff Johns a trouvé un illustrateur à la hauteur de la qualité de ses scénarios.Encore une fois, Geoff Johns nous raconte une histoire (que l'on croyait déjà connatre) palpitante qui présente un équilibre parfait entre action, superhéros, humour, mythologie des Green Lantern (le secteur 666 n'est pas oublié) et psychologie des personnages. Hal Jordan est une personne qui est en colère. C'est une preuve du talent de Johns que de nous montrer comment se manifeste cette colère de manière différente en fonction de l'interlocuteur. Cette aventure à la fois humaine et cosmique se poursuit dans Rage of the Red Lanterns (en anglais).

Green Lantern, Tome 1 : Origine secrète Reviews
Flèche bleue .
Voici donc les origines revisitées de Hal Jordan/Green Lantern. C'est la première fois que je lis du Green Lantern. Alors, pensé-je, voici la porte d'entrée idéale pour faire connaissance avec cet univers. Et bien je me suis peut-tre trompé, tant il m'a paru étranger, cet univers !Après les bouleversements survenus au cours de Infinite Crisis en 2005, DC comics charge son scénariste vedette, Geoff Johns, de rafraichir les origines de certains personnages. Si son boulot est remarquable quand il s'agit de lier le passé éditorial et les événements contemporains vécus par ces grandes figures, tout en trouvant des idées géniales pour corriger les éventuelles incohérences, il a tendance à livrer des épisodes tellement remplis à craquer d'informations diverses que c'est très difficile à digérer. Impossible pour moi, donc, de résumer correctement ces sept épisodes, tant il y a de personnages, tant les découvertes et les rebondissements coulent en cascade ! Mais surtout, Johns opte pour une narration extrmement compressée, au rythme sur-vitaminé, privilégiant les ellipses aux scènes d'exposition. L'épisode ou Hal Jordan est conduit sur Oa pour subir sa formation de Green Lantern est ainsi complètement irrecevable, tellement on a l'impression qu'il la subit en quelque fractions de secondes. Un vrai problème de gestion du temps, je trouve.Autre grief que je pourrais ajouter : les clichés. Le début de l'histoire, essentiellement raconté en voix-off, ressemble à ces téléfilm de M6, où l'on déroule la jeunesse des personnages à coup de moments "clés". Rien à voir avec les films de Martin Scorcese, où la voix-off vous prend par la main et vous plonge dans le cté obscur. Jordan est un jeune blanc-bec tempétueux réfractaire à toute autorité. Il se plaint de foirer ses relations avec ses proches, mais répète sans cesse les mmes erreurs avec ses nouvelles connaissances. Ce genre de cliché, plutt logique pour un personnage ayant été créé dans les années 50, ne serait pas vraiment grave si la narration n'était pas aussi précipitée, car du coup, le personnage n'ayant pas vraiment le temps de se retourner sur lui-mme, il vire "tte à claque" ! Attention au choc que vous réserve la fin de l'histoire, quand il envoie bouler les gardiens de l'univers, qui se contentent d'tre offusqués ! Ben voyons !Je veux bien croire que les fans de longue date du personnage aient beaucoup apprécié cette relecture, dynamique, efficace et extrmement bien dessinée (le style d'Yvan Reiss oscille entre celui de Mike Deodato et ceux plus classique, de la "vieille école"). Je devine bien, ayant lu (et vraiment aimé) la relecture des origines de Superman par le mme auteur, qu'il délivre un excellent travail de mise en cohérence, par rapport aux nouvelles histoires vécues par tous ces personnages. Mais franchement, tout cela manque vraiment de substance et on aimerait bien que l'on nous raconte cette histoire en prenant un peu plus de temps. Et puis surtout, pour le néophyte qui ne connat pas bien cet univers, et bien a ne donne pas très envie de s'aventurer plus loin, car j'ai vraiment eu l'impression de regarder passer un TGV en sachant qu'il allait beaucoup trop vite pour que je puisse le prendre en marche...Pour achever la sentence, cette édition n'est pas à la hauteur. La couverture est souple et fragile et le papier est terne et de mauvaise qualité. Je mets tout de mme 3 étoiles pour le professionnalisme des auteurs. Et puis, n'exagérons pas, j'ai passé un bon moment. Est-ce que j'en attendais trop ?
Flèche bleue .
Voici donc les origines revisitées de Hal Jordan/Green Lantern. C'est la première fois que je lis du Green Lantern. Alors, pensé-je, voici la porte d'entrée idéale pour faire connaissance avec cet univers. Et bien je me suis peut-tre trompé, tant il m'a paru étranger, cet univers !Après les bouleversements survenus au cours de Infinite Crisis en 2005, DC comics charge son scénariste vedette, Geoff Johns, de rafraichir les origines de certains personnages. Si son boulot est remarquable quand il s'agit de lier le passé éditorial et les événements contemporains vécus par ces grandes figures, tout en trouvant des idées géniales pour corriger les éventuelles incohérences, il a tendance à livrer des épisodes tellement remplis à craquer d'informations diverses que c'est très difficile à digérer. Impossible pour moi, donc, de résumer correctement ces sept épisodes, tant il y a de personnages, tant les découvertes et les rebondissements coulent en cascade ! Mais surtout, Johns opte pour une narration extrmement compressée, au rythme sur-vitaminé, privilégiant les ellipses aux scènes d'exposition. L'épisode ou Hal Jordan est conduit sur Oa pour subir sa formation de Green Lantern est ainsi complètement irrecevable, tellement on a l'impression qu'il la subit en quelque fractions de secondes. Un vrai problème de gestion du temps, je trouve.Autre grief que je pourrais ajouter : les clichés. Le début de l'histoire, essentiellement raconté en voix-off, ressemble à ces téléfilm de M6, où l'on déroule la jeunesse des personnages à coup de moments "clés". Rien à voir avec les films de Martin Scorcese, où la voix-off vous prend par la main et vous plonge dans le cté obscur. Jordan est un jeune blanc-bec tempétueux réfractaire à toute autorité. Il se plaint de foirer ses relations avec ses proches, mais répète sans cesse les mmes erreurs avec ses nouvelles connaissances. Ce genre de cliché, plutt logique pour un personnage ayant été créé dans les années 50, ne serait pas vraiment grave si la narration n'était pas aussi précipitée, car du coup, le personnage n'ayant pas vraiment le temps de se retourner sur lui-mme, il vire "tte à claque" ! Attention au choc que vous réserve la fin de l'histoire, quand il envoie bouler les gardiens de l'univers, qui se contentent d'tre offusqués ! Ben voyons !Je veux bien croire que les fans de longue date du personnage aient beaucoup apprécié cette relecture, dynamique, efficace et extrmement bien dessinée (le style d'Yvan Reiss oscille entre celui de Mike Deodato et ceux plus classique, de la "vieille école"). Je devine bien, ayant lu (et vraiment aimé) la relecture des origines de Superman par le mme auteur, qu'il délivre un excellent travail de mise en cohérence, par rapport aux nouvelles histoires vécues par tous ces personnages. Mais franchement, tout cela manque vraiment de substance et on aimerait bien que l'on nous raconte cette histoire en prenant un peu plus de temps. Et puis surtout, pour le néophyte qui ne connat pas bien cet univers, et bien a ne donne pas très envie de s'aventurer plus loin, car j'ai vraiment eu l'impression de regarder passer un TGV en sachant qu'il allait beaucoup trop vite pour que je puisse le prendre en marche...Pour achever la sentence, cette édition n'est pas à la hauteur. La couverture est souple et fragile et le papier est terne et de mauvaise qualité. Je mets tout de mme 3 étoiles pour le professionnalisme des auteurs. Et puis, n'exagérons pas, j'ai passé un bon moment. Est-ce que j'en attendais trop ?
Product Details
EAN : 9782809421040Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 11 inches
Width : 8 inches
Author : Geoff Johns
Binding : Broché
Manufacturer : Panini Comics
PublicationDate : 2011-08-17
Publisher : Panini Comics
SKU : 009782809421040
Studio : Panini Comics
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