
Prix : EUR 26,00

Preacher, Tome 9 : Alamo - La cultissime série Vertigo s’achève avec cet album plutôt généreux en rebondissements, révélations et confrontations (Garth Ennis n’a pas non plus été avare en cadavres !). Le scénariste et son compagnon d’armes, Steve Dillon, mettent un point final à la saga qui les a rendus célèbres.
This review is from : Preacher, Tome 9 : Alamo
FINAL EN BEAUTE... .
Il fallait bien que cela arrive... alors après 9 tomes tonitruants de haut niveau, la fin de la série déboule avec ce tome 10, qui bien sr met en scène tous les personnages que l'on connait désormais bien : Jesse, Tulip, Cassidy, le Saint des Tueurs, les membres du Graal (et surtout leur déjanté patron, Herr Starr, à qui il manque désormais une jambe, un oeil, une oreille... et l'appareil génital !), en faisant mme un petit détour par Salvation avec Tte de Fion qui trouvera l'amour !Les chemins croisés de ces protagonistes, bien construits tout au long de la série, vont donc se rejoindre à Alamo, lieu emblématique s'il en est, pour un affrontement final pas piqué des vers, qui clturera un plan finement ourdi par Jesse Custer avec le Saint des Tueurs.Action, mystique, rebondissements, tout y passe dans ce bouquet final que les auteurs ont voulu savamment orchestré. Très dense, il ne dèoit pas le lecteur... un seul regret : que va t'on lire maintenant ?
FINAL EN BEAUTE... .
Il fallait bien que cela arrive... alors après 9 tomes tonitruants de haut niveau, la fin de la série déboule avec ce tome 10, qui bien sr met en scène tous les personnages que l'on connait désormais bien : Jesse, Tulip, Cassidy, le Saint des Tueurs, les membres du Graal (et surtout leur déjanté patron, Herr Starr, à qui il manque désormais une jambe, un oeil, une oreille... et l'appareil génital !), en faisant mme un petit détour par Salvation avec Tte de Fion qui trouvera l'amour !Les chemins croisés de ces protagonistes, bien construits tout au long de la série, vont donc se rejoindre à Alamo, lieu emblématique s'il en est, pour un affrontement final pas piqué des vers, qui clturera un plan finement ourdi par Jesse Custer avec le Saint des Tueurs.Action, mystique, rebondissements, tout y passe dans ce bouquet final que les auteurs ont voulu savamment orchestré. Très dense, il ne dèoit pas le lecteur... un seul regret : que va t'on lire maintenant ?

Preacher, Tome 9 : Alamo Reviews
une fin formidable pour une série inégalable .
Que les lecteurs Amazon me pardonnent ! En ce qui concerne Preacher, je suis incapable d'impartialité . Alamo tient incroyablement la route 10 ans après sa première publication.Amateur du trade paperback , le dernier arc de la série est le seul que je continue de lire sur les volumes souple achetés à l'époque . Nostalgie ? Pas seulement ! Il a été dit que pour apprécier véritablement Watchmen, il fallait ne lire pas plus d'un chapitre par mois ; je me rappelle du mélange d'excitation et de souffrances que constituait le mois d'attente pour suivre la fin des aventures de la bande à Custer.Je ne gcherais pas le plaisir de ceux qui ne savent pas comment se finit la qute du Réverend rebelle, mais la clture du numéro 65 fut un véritable traumatisme dont je me rappelle 11 ans après !Dernier sermon donc, en 5 épisodes plus un épilogue, où Ennis termine de manière admirable sa saga. Chaque Chapitre clt le destin d'un personnage et répond aux questions laissées sans réponses : Quel forme prendra l'inévitable confrontation entre Dieu et Custer ? Quel rle y joueront, Saint of Killers, Starr et Cassidy ? Pourquoi Dieu a quitté son Paradis ? Qu'est ce qui l'empchait de terrasser depuis le début Custer et Genesis ?Ce qui m'a surpris en relisant Alamo , c'est la concision des réponses : simples , directes , efficaces , exactement le contraire du style qu'Ennis développera pour la série The Boys 1: The Name of the Game.La forme est également surprenante et étonnamment sentimentale ! : beaucoup de ses révélations se font via des lettres d'adieu que les personnages s'adressent entre eux .Enfin, contrairement à Y The Last Man vol. 10 : Whys and Wherefores, Ennis s'intéresse à l'me de ses personnages jusqu'au bout ; les retrouvailles mouvementées entre Jesse et Cassidy occupent pas moins plus de 60 pages soient l'intégralité des deux derniers épisodes.Le destin de Cassidy est remarquablement bien amené et c'est à se demander s'il n'est pas véritablement le héros de la série. Ennis, alors qu'il aurait tout loisir de conclure Preacher dans le sang, continue de s'intéresser aux personnages très secondaires comme Hoover et Feathertone , Lorie et Arseface pour qui il a des plans aussi arrtés que pour le trio de tte .Qu'est ce qui fait que cette série, inadaptable à l'écran, avec son pitch totalement absurde (un prtre qui n'en a vraiment pas l'air envisage de tuer Dieu avec l'aide d'un vampire...) reste si jouissive ? L'humour trash omniprésent (je vous laisse imaginer ce que devient un Starr sans testicules.... ) ? Des personnages bourrins révélant une rare profondeur par moment ? Une réflexion sur nos sociétés et nos religions ? Le volet Western omniprésent ?Ne pourrai t'on pas voir Preacher comme une variation ultraviolente de ce que Gaiman étudiait dans The Sandman: Preludes & Nocturnes: quelle degré de responsabilité attache les Dieux à leur création ?.Steve Dillon se déchane une dernière fois dans cet art tragi-comique le caractérisant. Des larmes que verse enfin Jesse Custer aux blessures que Tulip inflige par balles aux membres du Graal, tout est exagéré. Si les décors sont des plus sommaires, Steve Dillon multiplie, comme chez Charlie Adlard ( The Walking Dead Compendium 1, des angles très pertinents mettant en valeur les conversations des personnages . Il n'a pas son pareil pour dessiner, ici une mine méprisante, une lèvre boudeuse, la tristesse de Jesse face à son destin, le ridicule de Starr ou la candeur authentique d'Arseface .Un dernier mot sur les couvertures de Glen Fabry, qui livre pour les six derniers épisodes des portraits soignés des principaux acteurs d'Alamo.Alamo est un must d'une série qui, avec Sandman, a participé à la réputation de Vertigo . Ceux qui ont aimé le personnage Saint Of Killers pourront se jeter les yeux fermés sur l'autre grande oeuvre d'Ennis toujours dessiné par Dillon : Punisher by Garth Ennis Omnibus où il accomplira pour le justicier à tte de mort le miracle que Miller effectua avec Daredevil.
une fin formidable pour une série inégalable .
Que les lecteurs Amazon me pardonnent ! En ce qui concerne Preacher, je suis incapable d'impartialité . Alamo tient incroyablement la route 10 ans après sa première publication.Amateur du trade paperback , le dernier arc de la série est le seul que je continue de lire sur les volumes souple achetés à l'époque . Nostalgie ? Pas seulement ! Il a été dit que pour apprécier véritablement Watchmen, il fallait ne lire pas plus d'un chapitre par mois ; je me rappelle du mélange d'excitation et de souffrances que constituait le mois d'attente pour suivre la fin des aventures de la bande à Custer.Je ne gcherais pas le plaisir de ceux qui ne savent pas comment se finit la qute du Réverend rebelle, mais la clture du numéro 65 fut un véritable traumatisme dont je me rappelle 11 ans après !Dernier sermon donc, en 5 épisodes plus un épilogue, où Ennis termine de manière admirable sa saga. Chaque Chapitre clt le destin d'un personnage et répond aux questions laissées sans réponses : Quel forme prendra l'inévitable confrontation entre Dieu et Custer ? Quel rle y joueront, Saint of Killers, Starr et Cassidy ? Pourquoi Dieu a quitté son Paradis ? Qu'est ce qui l'empchait de terrasser depuis le début Custer et Genesis ?Ce qui m'a surpris en relisant Alamo , c'est la concision des réponses : simples , directes , efficaces , exactement le contraire du style qu'Ennis développera pour la série The Boys 1: The Name of the Game.La forme est également surprenante et étonnamment sentimentale ! : beaucoup de ses révélations se font via des lettres d'adieu que les personnages s'adressent entre eux .Enfin, contrairement à Y The Last Man vol. 10 : Whys and Wherefores, Ennis s'intéresse à l'me de ses personnages jusqu'au bout ; les retrouvailles mouvementées entre Jesse et Cassidy occupent pas moins plus de 60 pages soient l'intégralité des deux derniers épisodes.Le destin de Cassidy est remarquablement bien amené et c'est à se demander s'il n'est pas véritablement le héros de la série. Ennis, alors qu'il aurait tout loisir de conclure Preacher dans le sang, continue de s'intéresser aux personnages très secondaires comme Hoover et Feathertone , Lorie et Arseface pour qui il a des plans aussi arrtés que pour le trio de tte .Qu'est ce qui fait que cette série, inadaptable à l'écran, avec son pitch totalement absurde (un prtre qui n'en a vraiment pas l'air envisage de tuer Dieu avec l'aide d'un vampire...) reste si jouissive ? L'humour trash omniprésent (je vous laisse imaginer ce que devient un Starr sans testicules.... ) ? Des personnages bourrins révélant une rare profondeur par moment ? Une réflexion sur nos sociétés et nos religions ? Le volet Western omniprésent ?Ne pourrai t'on pas voir Preacher comme une variation ultraviolente de ce que Gaiman étudiait dans The Sandman: Preludes & Nocturnes: quelle degré de responsabilité attache les Dieux à leur création ?.Steve Dillon se déchane une dernière fois dans cet art tragi-comique le caractérisant. Des larmes que verse enfin Jesse Custer aux blessures que Tulip inflige par balles aux membres du Graal, tout est exagéré. Si les décors sont des plus sommaires, Steve Dillon multiplie, comme chez Charlie Adlard ( The Walking Dead Compendium 1, des angles très pertinents mettant en valeur les conversations des personnages . Il n'a pas son pareil pour dessiner, ici une mine méprisante, une lèvre boudeuse, la tristesse de Jesse face à son destin, le ridicule de Starr ou la candeur authentique d'Arseface .Un dernier mot sur les couvertures de Glen Fabry, qui livre pour les six derniers épisodes des portraits soignés des principaux acteurs d'Alamo.Alamo est un must d'une série qui, avec Sandman, a participé à la réputation de Vertigo . Ceux qui ont aimé le personnage Saint Of Killers pourront se jeter les yeux fermés sur l'autre grande oeuvre d'Ennis toujours dessiné par Dillon : Punisher by Garth Ennis Omnibus où il accomplira pour le justicier à tte de mort le miracle que Miller effectua avec Daredevil.
Product Details
EAN : 9782809418132Weight : 2 pounds
Height : 1 inches
Length : 11 inches
Width : 7 inches
Author : Garth Ennis
Binding : Broché
Manufacturer : Marvel Panini France
PublicationDate : 2011-04-13
Publisher : Marvel Panini France
SKU : TL2809418136
Studio : Marvel Panini France
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