
Prix : EUR 70,00

This review is from : La mort de Superman
La saga du siècle .
Enorme recueil de près de 800 pages, "La Mort De Superman" regroupe le contenu des quatre séries dédiées au personnage de "l'Homme d'acier" entre octobre 1992 et novembre 1993. Entre les épisodes "Superman" #73-82, "Superman The Man Of Steel" #17-26, "Adventures Of Superman" #496-505 et "Action Comics" #683-684 et 687-691 (auxquels il faut ajouter "Green Lantern" #46 et "JLA" #69), ce ne sont pas moins de 40 numéros qui défilent sous nos yeux !Le livre en lui mme est un très bel objet. Le contenu, tout en papier glacé, fait preuve d'une belle tenue éditoriale. Il est toutefois dommage que les couvertures originales n'apparaissent qu'à la fin, en miniatures, et non au début de chaque épisode. La traduction de Geneviève Coulomb est, comme d'habitude, laborieuse. Il n' y a aucun bonus, hormis une introduction de Mike Carlin, le rédacteur de DC comics à l'époque.Il s'agit ni plus ni moins de l'événement le plus retentissant (le plus médiatisé) de l'histoire des comics !Plusieurs auteurs se bousculent au générique (dont Louise Simonson, John Bogdanove, Jerry Ordway, John Ostrander, Dan Jurgens, Roger Stern, entre autres !). Aucun n'est particulièrement connu pour avoir travaillé autrement qu'en produisant du mainstream. Mais ils réalisent, de concert, un produit éditorial d'une impressionnante cohérence. Malgré le va et vient sur les diverses séries et les changements de dessinateurs, l'ensemble est d'une homogénéité totale !- La première partie nous dévoile le combat contre Doomsday et la mort de Superman, qui culmine avec un épisode nommé "Apocalypse", entièrement réalisé en illustrations pleine page. Tout commence assez mal, dans le pire esprit "old-school", avec les super-slips les plus ridicules de la "Ligue de justice" (Blue Beetle et son vaisseau en forme de hanneton, plus une tripotée de héros plus grotesques les uns que les autres, ce qui démontre à quel point les héros charismatiques de l'univers DC ne sont pas légion), à qui Doomsday inflige une raclée assez jouissive. Les premiers épisodes se succèdent ainsi dans une accumulation de personnages et de situations poussives, bulles de pensées dégoulinant de partout, dialogues ampoulés et personnages qui se présentent à la troisième personne. Bref, tous les tics les pires qui font passer les comics, depuis plusieurs décennies, pour de la lecture réservée aux ados attardés. Mais tout d'un coup, quelque chose se passe... les super-slips disparaissent un à un et il n'y a plus que Superman et Doomsday, sur qui se focalise l'intrigue, comme si une caméra les filmait peu à peu en gros plan. Il n'y a pas à dire : la longue montée en puissance vers le combat final au cur de Metropolis est vraiment impressionnante. Il n'y a aucune originalité, aucune trouvaille visuelle, mais au contraire quelque chose de brut et de basique, qui finit par devenir une évidence : Les deux ennemis se sont tellement cognés dessus qu'ils meurent.- La deuxième partie s'oppose à la première avec une extrme rupture de ton. Il s'agit d'une convergence sur le deuil de Superman vécu par ses proches : Ses parents terriens, Martha et Jonathan Kent, son ami Jimmy Olsen ainsi que ses amours, Lana Lang et Los Lane. Cette série d'épisodes est racontée de manière réaliste dans un premier temps, avec soin et détails, et puis de manière fortement onirique ensuite. Elle culmine avec le voyage de Jonathan Kent au pays des morts, dans une atmosphère proche des séries Vertigo, comme Hellblazer ! Magnifique travail du scénariste Jerry Ordway.- La troisième partie montre un apparent retour de Superman sous plusieurs formes : "Superboy", "Supercyborg", "L'homme d'acier" et une sorte de version "fasciste" de Superman : le "dernier fils de Krypton" ! Le lecteur suit cette longue série d'épisodes en se demandant lequel est le vrai... Jusqu'à la révélation finale. On s'en souviendra sous l'appellation de "Règne des Supermen" !C'est la partie la plus longue et la plus fluctuante de la saga. Tant que les personnages évoluent dans un cadre urbain plus ou moins réaliste, tout va très bien. Ainsi, chaque Avatar de Superman vit indépendamment ses propres aventures, apporte des preuves quant à sa légitimité sous le costume du Kryptonien, voit son ascension dans les médias et tombe sous le giron de Lex Luthor jr. Mais dès que d'autres super-héros s'en mlent, tels Guy Gardner (un des "Green lantern") ou Supergirl, le récit retombe dans le ridicule (personnages qui commentent tout ce qu'ils font, tonnes de bulles de pensées et diatribe médiévales ineptes du genre "tu oses me défier !", etc.). De toute manière, cette partie est bien plus longue que les autres et remplit à elle-seule les deux tiers de ce recueil. Comme le dit Mike Carlin dans l'introduction du volume : Ce qui intéressait les responsables éditoriaux de "La mort de Superman", c'était d'imaginer les réactions d'un monde soudainement privé de l'existence de Superman !- La quatrième partie nous permet d'assister au retour de Superman sous sa forme originelle. Ce n'est pas que l'on s'ennuyait jusque là, mais le plaisir que procure son retour démontre le charisme inné et exceptionnel du personnage. On prend soudainement conscience à quel point Joe Shuster et Jerry Siegel firent preuve de génie en créant un archétype absolument increvable tel que cette figure pourtant si indubitablement criarde. Malgré son accoutrement kitschissime, Superman est une des créations modernes les plus fortes et les plus évidentes qui soit (et bien plus originale qu'on pourrait le croire au départ, Superman étant le seul super-héros sans masque, ce qui l'oblige à se déguiser lorsqu'il évolue sous une apparence humaine !). Cette gigantesque saga permet de s'en souvenir, qui voit le monde, privé de Superman, le considérer comme le Messie. Il n'a d'ailleurs pas tort, le monde, puisque celui-ci finit par ressusciter !Dès le départ, de toute manière, la création de Shuster et Siegel est une réinterprétation à peine masquée de la venue du christ, avec le couple des Kent, braves gens attachés à la terre et transmettant une éducation saine, en lieu et place de la vierge Marie et de St Joseph. Mais les créateurs initiaux du Kryptonien surent dépasser le stade du simple plagiat en donnant un autre destin à cette figure christique qui, refusant de s'élever au dessus des hommes, préfère au contraire éprouver leur humanité. Non pas par la souffrance de la chair, tel que le fit Jésus sur la croix, mais par l'amour de la femme, Superman accomplissant le voyage en aimant Los Lane et en demeurant parmi les hommes, qu'il finit par considérer comme ses pairs au dépend de ceux de sa propre espèce, dont il n'épousera pas le destin.La suite retombe néanmoins dans les aléas des comics et de leur cible principale : Les enfants. Le dénouement de la saga, assez interminable, se déroule donc sous la forme d'une série de batailles titanesques racontées assez laborieusement, avec tous les tics les pires relevés plus haut : Bulles de pensées jusqu'à la nausée, commentaires en cascades et prépondérance de l'action sur le psychologique. Il fait, heureusement, la part belle aux diverses figures du récit en apportant toutes les réponses aux questions posées au fur et à mesure de la lecture et permet de concevoir en quoi le personnage de Superman est irremplaable et unique en son genre, en l'opposant à toutes ses déclinaisons. Ce qui demeure, quoiqu'il arrive, une idée brillante !Malgré tous ses défauts, malgré le cynisme à la base du projet, où personne d'ailleurs ne s'en défend : "Il fallait relancer la franchise et aucun concept, mieux que celui de la mort et de la résurrection du héros, ne fonctionne aussi bien dans le monde des comics"... (dixit Carlin). Malgré tout cela donc, "La Mort De Superman" dans son ensemble est un monument de l'histoire du comicbook. D'une densité exceptionnelle, d'une richesse thématique et d'une générosité totale, elle s'impose comme une saga éléphantesque, du genre qui détruit tout sur son passage ! Son impact fut d'ailleurs si grand, qu'il dépassa largement le simple stade de son médium pour devenir, à l'époque de sa diffusion, l'événement mondial médiatique numéro un ! Rien que pour cette raison, il est donc incontournable.Il existe une adaptation sous forme de long métrage d'animation : Superman: Doomsday. Il s'agit d'une épure de la saga commentée ci-dessus. Dans son genre, elle est tout de mme splendide.
La saga du siècle .
Enorme recueil de près de 800 pages, "La Mort De Superman" regroupe le contenu des quatre séries dédiées au personnage de "l'Homme d'acier" entre octobre 1992 et novembre 1993. Entre les épisodes "Superman" #73-82, "Superman The Man Of Steel" #17-26, "Adventures Of Superman" #496-505 et "Action Comics" #683-684 et 687-691 (auxquels il faut ajouter "Green Lantern" #46 et "JLA" #69), ce ne sont pas moins de 40 numéros qui défilent sous nos yeux !Le livre en lui mme est un très bel objet. Le contenu, tout en papier glacé, fait preuve d'une belle tenue éditoriale. Il est toutefois dommage que les couvertures originales n'apparaissent qu'à la fin, en miniatures, et non au début de chaque épisode. La traduction de Geneviève Coulomb est, comme d'habitude, laborieuse. Il n' y a aucun bonus, hormis une introduction de Mike Carlin, le rédacteur de DC comics à l'époque.Il s'agit ni plus ni moins de l'événement le plus retentissant (le plus médiatisé) de l'histoire des comics !Plusieurs auteurs se bousculent au générique (dont Louise Simonson, John Bogdanove, Jerry Ordway, John Ostrander, Dan Jurgens, Roger Stern, entre autres !). Aucun n'est particulièrement connu pour avoir travaillé autrement qu'en produisant du mainstream. Mais ils réalisent, de concert, un produit éditorial d'une impressionnante cohérence. Malgré le va et vient sur les diverses séries et les changements de dessinateurs, l'ensemble est d'une homogénéité totale !- La première partie nous dévoile le combat contre Doomsday et la mort de Superman, qui culmine avec un épisode nommé "Apocalypse", entièrement réalisé en illustrations pleine page. Tout commence assez mal, dans le pire esprit "old-school", avec les super-slips les plus ridicules de la "Ligue de justice" (Blue Beetle et son vaisseau en forme de hanneton, plus une tripotée de héros plus grotesques les uns que les autres, ce qui démontre à quel point les héros charismatiques de l'univers DC ne sont pas légion), à qui Doomsday inflige une raclée assez jouissive. Les premiers épisodes se succèdent ainsi dans une accumulation de personnages et de situations poussives, bulles de pensées dégoulinant de partout, dialogues ampoulés et personnages qui se présentent à la troisième personne. Bref, tous les tics les pires qui font passer les comics, depuis plusieurs décennies, pour de la lecture réservée aux ados attardés. Mais tout d'un coup, quelque chose se passe... les super-slips disparaissent un à un et il n'y a plus que Superman et Doomsday, sur qui se focalise l'intrigue, comme si une caméra les filmait peu à peu en gros plan. Il n'y a pas à dire : la longue montée en puissance vers le combat final au cur de Metropolis est vraiment impressionnante. Il n'y a aucune originalité, aucune trouvaille visuelle, mais au contraire quelque chose de brut et de basique, qui finit par devenir une évidence : Les deux ennemis se sont tellement cognés dessus qu'ils meurent.- La deuxième partie s'oppose à la première avec une extrme rupture de ton. Il s'agit d'une convergence sur le deuil de Superman vécu par ses proches : Ses parents terriens, Martha et Jonathan Kent, son ami Jimmy Olsen ainsi que ses amours, Lana Lang et Los Lane. Cette série d'épisodes est racontée de manière réaliste dans un premier temps, avec soin et détails, et puis de manière fortement onirique ensuite. Elle culmine avec le voyage de Jonathan Kent au pays des morts, dans une atmosphère proche des séries Vertigo, comme Hellblazer ! Magnifique travail du scénariste Jerry Ordway.- La troisième partie montre un apparent retour de Superman sous plusieurs formes : "Superboy", "Supercyborg", "L'homme d'acier" et une sorte de version "fasciste" de Superman : le "dernier fils de Krypton" ! Le lecteur suit cette longue série d'épisodes en se demandant lequel est le vrai... Jusqu'à la révélation finale. On s'en souviendra sous l'appellation de "Règne des Supermen" !C'est la partie la plus longue et la plus fluctuante de la saga. Tant que les personnages évoluent dans un cadre urbain plus ou moins réaliste, tout va très bien. Ainsi, chaque Avatar de Superman vit indépendamment ses propres aventures, apporte des preuves quant à sa légitimité sous le costume du Kryptonien, voit son ascension dans les médias et tombe sous le giron de Lex Luthor jr. Mais dès que d'autres super-héros s'en mlent, tels Guy Gardner (un des "Green lantern") ou Supergirl, le récit retombe dans le ridicule (personnages qui commentent tout ce qu'ils font, tonnes de bulles de pensées et diatribe médiévales ineptes du genre "tu oses me défier !", etc.). De toute manière, cette partie est bien plus longue que les autres et remplit à elle-seule les deux tiers de ce recueil. Comme le dit Mike Carlin dans l'introduction du volume : Ce qui intéressait les responsables éditoriaux de "La mort de Superman", c'était d'imaginer les réactions d'un monde soudainement privé de l'existence de Superman !- La quatrième partie nous permet d'assister au retour de Superman sous sa forme originelle. Ce n'est pas que l'on s'ennuyait jusque là, mais le plaisir que procure son retour démontre le charisme inné et exceptionnel du personnage. On prend soudainement conscience à quel point Joe Shuster et Jerry Siegel firent preuve de génie en créant un archétype absolument increvable tel que cette figure pourtant si indubitablement criarde. Malgré son accoutrement kitschissime, Superman est une des créations modernes les plus fortes et les plus évidentes qui soit (et bien plus originale qu'on pourrait le croire au départ, Superman étant le seul super-héros sans masque, ce qui l'oblige à se déguiser lorsqu'il évolue sous une apparence humaine !). Cette gigantesque saga permet de s'en souvenir, qui voit le monde, privé de Superman, le considérer comme le Messie. Il n'a d'ailleurs pas tort, le monde, puisque celui-ci finit par ressusciter !Dès le départ, de toute manière, la création de Shuster et Siegel est une réinterprétation à peine masquée de la venue du christ, avec le couple des Kent, braves gens attachés à la terre et transmettant une éducation saine, en lieu et place de la vierge Marie et de St Joseph. Mais les créateurs initiaux du Kryptonien surent dépasser le stade du simple plagiat en donnant un autre destin à cette figure christique qui, refusant de s'élever au dessus des hommes, préfère au contraire éprouver leur humanité. Non pas par la souffrance de la chair, tel que le fit Jésus sur la croix, mais par l'amour de la femme, Superman accomplissant le voyage en aimant Los Lane et en demeurant parmi les hommes, qu'il finit par considérer comme ses pairs au dépend de ceux de sa propre espèce, dont il n'épousera pas le destin.La suite retombe néanmoins dans les aléas des comics et de leur cible principale : Les enfants. Le dénouement de la saga, assez interminable, se déroule donc sous la forme d'une série de batailles titanesques racontées assez laborieusement, avec tous les tics les pires relevés plus haut : Bulles de pensées jusqu'à la nausée, commentaires en cascades et prépondérance de l'action sur le psychologique. Il fait, heureusement, la part belle aux diverses figures du récit en apportant toutes les réponses aux questions posées au fur et à mesure de la lecture et permet de concevoir en quoi le personnage de Superman est irremplaable et unique en son genre, en l'opposant à toutes ses déclinaisons. Ce qui demeure, quoiqu'il arrive, une idée brillante !Malgré tous ses défauts, malgré le cynisme à la base du projet, où personne d'ailleurs ne s'en défend : "Il fallait relancer la franchise et aucun concept, mieux que celui de la mort et de la résurrection du héros, ne fonctionne aussi bien dans le monde des comics"... (dixit Carlin). Malgré tout cela donc, "La Mort De Superman" dans son ensemble est un monument de l'histoire du comicbook. D'une densité exceptionnelle, d'une richesse thématique et d'une générosité totale, elle s'impose comme une saga éléphantesque, du genre qui détruit tout sur son passage ! Son impact fut d'ailleurs si grand, qu'il dépassa largement le simple stade de son médium pour devenir, à l'époque de sa diffusion, l'événement mondial médiatique numéro un ! Rien que pour cette raison, il est donc incontournable.Il existe une adaptation sous forme de long métrage d'animation : Superman: Doomsday. Il s'agit d'une épure de la saga commentée ci-dessus. Dans son genre, elle est tout de mme splendide.

La mort de Superman Reviews
La mort de Superman .
760 pages d'épisodes quasiment tous inédits en France !Auteurs : Dan Jurgens, Roger Stern, Jerry Ordway, Louise Simonson et bien d'autres...Réclamée à cor et à cri depuis que Panini Comics a repris le catalogue DC, voici l'événement le plus retentissant de son histoire et le plus célèbre dans l'histoire des comics : La mort du premier super-héros : Superman !Rappelons qu'à l'époque de sa première publication, ce décès avait fait la une des journaux du monde entier !Vous pouvez maintenant le découvrir dans la langue de Molière, présenté dans une luxueuse version.
La mort de Superman .
760 pages d'épisodes quasiment tous inédits en France !Auteurs : Dan Jurgens, Roger Stern, Jerry Ordway, Louise Simonson et bien d'autres...Réclamée à cor et à cri depuis que Panini Comics a repris le catalogue DC, voici l'événement le plus retentissant de son histoire et le plus célèbre dans l'histoire des comics : La mort du premier super-héros : Superman !Rappelons qu'à l'époque de sa première publication, ce décès avait fait la une des journaux du monde entier !Vous pouvez maintenant le découvrir dans la langue de Molière, présenté dans une luxueuse version.
La mort de Superman Opinions
la mort de superman .
L'envoi fut un peu long, de plus l'emballage était tres abimé !! Heureusement que le livre n'a pas été touché !! Voici ce qui était marqué sur l'emballage par la Poste : "Objet parvenu en mauvais état au centre de distribution de Dunkerque repare par nos soins . Le chef d'équipe " .
la mort de superman .
L'envoi fut un peu long, de plus l'emballage était tres abimé !! Heureusement que le livre n'a pas été touché !! Voici ce qui était marqué sur l'emballage par la Poste : "Objet parvenu en mauvais état au centre de distribution de Dunkerque repare par nos soins . Le chef d'équipe " .
Product Details
EAN : 9782809403657Weight : 5 pounds
Height : 2 inches
Length : 11 inches
Width : 8 inches
Author : Dan Jurgens
Binding : Broché
Manufacturer : Panini Comics
PublicationDate : 2008-10-09
Publisher : Panini Comics
Studio : Panini Comics
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