Prix : EUR 11,50
Brouillard au pont de Tolbiac en France - Paris, 1956. La nuit, sur le pont de Tolbiac, un homme rôde. Dans son regard, la folie... Pendant ce temps, Nestor Burma, détective privé réputé pour mettre le mystère K.O., enquête sur la mort d'un vieux chiffonnier. Et se retrouve plongé dans ses souvenirs de jeunesse. Il se revoit vingt ans plus tôt, en jeune anarchiste usant ses semelles sur les trottoirs du 13e arrondissement... Publié en 1981 dans le magazine A suivre, Brouillard au pont de Tolbiac est la première adaptation par Tardi d'un roman noir de la série Les Nouveaux Mystères de Paris, écrite par Léo Malet. C'est l'occasion pour le dessinateur d'arpenter Paris en tous sens avant de recréer avec brio l'ambiance urbaine de la capitale d'après-guerre. Pavés luisants, odeurs de macadam mouillé et architectures de métal : le graphisme de Tardi, avec son noir et blanc rehaussé d'aplats gris, n'a pas d'équivalent pour traduire en images l'atmosphère de la ville. Un polar sombre et fascinant marqué par la fatalité. --Gilbert Jacques
This review is from : Brouillard au pont de Tolbiac
nouvelle vague noire .
L'univers graphique de Tardi s'approche des films noirs des années 5O. Loin de la série-télé éponyme qui s'attache à des décors de notre temps, Tardi nous entrane dans son Paris adoré, un "Paris Paname" à la Robert Doisneau plein de clichés, de bohémiennes et de truands qui n'hésitent pas à tuer. C'est aussi l'occasion de découvrir la jeunesse de Nestor Burma, ce Paris des anarchistes de l'avant-guerre. Ceux qui aiment les romans de Léo Malet ne seront pas trahis par le graphisme des planches de Tardi qui, après les aventures d'Adèle Blanc-Sec, offre un nouvel écrin à sa ville préférée.
nouvelle vague noire .
L'univers graphique de Tardi s'approche des films noirs des années 5O. Loin de la série-télé éponyme qui s'attache à des décors de notre temps, Tardi nous entrane dans son Paris adoré, un "Paris Paname" à la Robert Doisneau plein de clichés, de bohémiennes et de truands qui n'hésitent pas à tuer. C'est aussi l'occasion de découvrir la jeunesse de Nestor Burma, ce Paris des anarchistes de l'avant-guerre. Ceux qui aiment les romans de Léo Malet ne seront pas trahis par le graphisme des planches de Tardi qui, après les aventures d'Adèle Blanc-Sec, offre un nouvel écrin à sa ville préférée.
Brouillard au pont de Tolbiac Reviews
Très bonne BD magnifiquement illustrée par Jacques Tardi .
Cet opus constitue la première adaptation par Tardi de l'oeuvre de Léo Malet, le père littéraire de l'inspecteur Nestor Burma. Et pour une première, c'est très réussi! L'histoire est digne des meilleurs polars et la réalisation graphique de Paris par Tardi est absolument incroyable. Il est donc vivement recommandé de s'attarder sur ce très bon album pour pouvoir savourer cette aventure du sieur Burma.En attendant de lire les autres collaborations Malet/Tardi, évidemment...
Très bonne BD magnifiquement illustrée par Jacques Tardi .
Cet opus constitue la première adaptation par Tardi de l'oeuvre de Léo Malet, le père littéraire de l'inspecteur Nestor Burma. Et pour une première, c'est très réussi! L'histoire est digne des meilleurs polars et la réalisation graphique de Paris par Tardi est absolument incroyable. Il est donc vivement recommandé de s'attarder sur ce très bon album pour pouvoir savourer cette aventure du sieur Burma.En attendant de lire les autres collaborations Malet/Tardi, évidemment...
Brouillard au pont de Tolbiac Opinions
Une plongée dans les souvenirs de Nestor Burma... .
Lorsque Nestor Burma reoit la lettre d'Abel Benoit, il ne sait encore pas que ce dernier vient d'tre refroidi à l'arme blanche. Mais au fait : qui est cet Abel Benoit ? et pourquoi cette lettre ? est-ce bien lui qui l'a écrite ? La rencontre avec la jeune et belle gitane Bélita Moralès va se révéler décisive à l'égard de ces interrogations, elle leur donnera une réponse. Ainsi, le détective, grce au soutien de Bélita, va renouer avec son passé et par là mme réveiller ses souvenirs d'enfance ayant pour cadre les milieux anarchistes. De fait, dans ce roman, Léo Malet nous invite à redécouvrir le Paris de l'après-guerre - son treizième arrondissement pour tre plus précis - à travers le regard d'un héros à la fois placide et rusé qui n'a rien à envier à Gavroche sur le plan de la verve et de la débrouillardise, et qui ne demeure jamais en reste avec nous s'agissant entre autres de suspense.
Une plongée dans les souvenirs de Nestor Burma... .
Lorsque Nestor Burma reoit la lettre d'Abel Benoit, il ne sait encore pas que ce dernier vient d'tre refroidi à l'arme blanche. Mais au fait : qui est cet Abel Benoit ? et pourquoi cette lettre ? est-ce bien lui qui l'a écrite ? La rencontre avec la jeune et belle gitane Bélita Moralès va se révéler décisive à l'égard de ces interrogations, elle leur donnera une réponse. Ainsi, le détective, grce au soutien de Bélita, va renouer avec son passé et par là mme réveiller ses souvenirs d'enfance ayant pour cadre les milieux anarchistes. De fait, dans ce roman, Léo Malet nous invite à redécouvrir le Paris de l'après-guerre - son treizième arrondissement pour tre plus précis - à travers le regard d'un héros à la fois placide et rusé qui n'a rien à envier à Gavroche sur le plan de la verve et de la débrouillardise, et qui ne demeure jamais en reste avec nous s'agissant entre autres de suspense.
Un classique du roman noir franais .
Manchette a écrit que le seul auteur de roman noir franais des années quarante, cinquante et soixante était Léo Malet.Avec cet épisode des Nouveaux Mystères de Paris, Malet confirme à la fois son talent d'écrivain de romans policiers bien ficelés mais aussi, et surtout, son statut d'écrivain tout court.Puisant dans les réminiscences de son passé, Malet nous entrane dans une balade aux accents mystérieux et oniriques qui ne manquera pas de captiver le lecteur tout en le plongeant dans l'épaisseur des brouillards d'un Paris révolu.Un classique qui se doit de figurer dans toute bonne bibliothèque.
Manchette a écrit que le seul auteur de roman noir franais des années quarante, cinquante et soixante était Léo Malet.Avec cet épisode des Nouveaux Mystères de Paris, Malet confirme à la fois son talent d'écrivain de romans policiers bien ficelés mais aussi, et surtout, son statut d'écrivain tout court.Puisant dans les réminiscences de son passé, Malet nous entrane dans une balade aux accents mystérieux et oniriques qui ne manquera pas de captiver le lecteur tout en le plongeant dans l'épaisseur des brouillards d'un Paris révolu.Un classique qui se doit de figurer dans toute bonne bibliothèque.
Brumes et anarchie. .
Nestor Burma, flic privé, ancien anar, rompu aux vicissitudes d'une vie agitée et bien l'un des derniers dinosaures du polar franais comme nous n'en verrons plus.Gouailleur, prompt à faire don de sa personne, il ne se départit jamais de son honneur et de sa droiture. Il symbolise bien ces hommes d'après guerre, ni bons ni mauvais, ayant vécus aux marges de la société et qui n'ont jamais pris le parti de se résigner et de se plier aux plus offrants.Il me plait moi Nestor.Idéaliste sans tre naif, il va au bout de ses idées. Il jette un regard froid sur la vie des hommes, sur leurs motivations les plus viles sans jamais omettre de ponctuer ses phrases d'un bon mot cynique aussi tranchant que le couperet de la Veuve.Burma dans cet épisode va mener tambour battant des recherches pour déterminer les raisons de la mort de Abel Benot, copain de l'ancienne cellule d'anarchistes qu'il eut fréquentée dans sa jeunesse.La particularité de ses nouveaux mystères de Paris c'est que toute l'nvestigation se déroule uniquement dans un arrondissement de Paris en l'occurence le treizième.Burma va évoluer dans une athmosphère humide, climat clair-obscur parsemé de friches, de zones industrielles et de gourbis. Malet dépeint avec justessel'ambiance de cette époque qu'il a bien connue.Malgrè le récit assez court, Malet parvient dès le départ à planter un climat qui rappelle ceux des films en noir et blanc dont les vedettes sont Ventura, Gabin, Blier and Co.Des paroles d'hommes qui cognent, des femmes aimantes masquées de fausses pudeurs. Des salauds reconvertis ayant pignons sur rue, des flics un peu dépassés ayant toujours les faveurs de Burma.Une découverte plaisante, qui n'est pas sans rappeler les livres de Boudard, de Dard où l'argot pimente les situations et fait résonner une langue verte passée de mode, supplantée de nos jours par le verlan qui n'a pas le mme charme.Radiographie d'une époque révolue, où l'honneur avec encore un sens et était une vertu, les romans de Léo Malet sont une valeur sre pour ceux qui désirent se plonger au coeur de l'après guerre. Amateurs de polars sanguinolents, bourrés d'artifices technologiques et de sexe passez votre chemin.En revanche, les amateurs en goguette, attiré par le Paris d'après guerre du cté du Pont de Tolbiac vous ne serez pas déu du voyageTardi a illsutré le Roman de Léo Malet, il semble tre une belle réussite
Nestor Burma, flic privé, ancien anar, rompu aux vicissitudes d'une vie agitée et bien l'un des derniers dinosaures du polar franais comme nous n'en verrons plus.Gouailleur, prompt à faire don de sa personne, il ne se départit jamais de son honneur et de sa droiture. Il symbolise bien ces hommes d'après guerre, ni bons ni mauvais, ayant vécus aux marges de la société et qui n'ont jamais pris le parti de se résigner et de se plier aux plus offrants.Il me plait moi Nestor.Idéaliste sans tre naif, il va au bout de ses idées. Il jette un regard froid sur la vie des hommes, sur leurs motivations les plus viles sans jamais omettre de ponctuer ses phrases d'un bon mot cynique aussi tranchant que le couperet de la Veuve.Burma dans cet épisode va mener tambour battant des recherches pour déterminer les raisons de la mort de Abel Benot, copain de l'ancienne cellule d'anarchistes qu'il eut fréquentée dans sa jeunesse.La particularité de ses nouveaux mystères de Paris c'est que toute l'nvestigation se déroule uniquement dans un arrondissement de Paris en l'occurence le treizième.Burma va évoluer dans une athmosphère humide, climat clair-obscur parsemé de friches, de zones industrielles et de gourbis. Malet dépeint avec justessel'ambiance de cette époque qu'il a bien connue.Malgrè le récit assez court, Malet parvient dès le départ à planter un climat qui rappelle ceux des films en noir et blanc dont les vedettes sont Ventura, Gabin, Blier and Co.Des paroles d'hommes qui cognent, des femmes aimantes masquées de fausses pudeurs. Des salauds reconvertis ayant pignons sur rue, des flics un peu dépassés ayant toujours les faveurs de Burma.Une découverte plaisante, qui n'est pas sans rappeler les livres de Boudard, de Dard où l'argot pimente les situations et fait résonner une langue verte passée de mode, supplantée de nos jours par le verlan qui n'a pas le mme charme.Radiographie d'une époque révolue, où l'honneur avec encore un sens et était une vertu, les romans de Léo Malet sont une valeur sre pour ceux qui désirent se plonger au coeur de l'après guerre. Amateurs de polars sanguinolents, bourrés d'artifices technologiques et de sexe passez votre chemin.En revanche, les amateurs en goguette, attiré par le Paris d'après guerre du cté du Pont de Tolbiac vous ne serez pas déu du voyageTardi a illsutré le Roman de Léo Malet, il semble tre une belle réussite
En croisière organisée dans le grand collecteur ! .
Première incursion en 67 pages en noir et blanc (chaque planche étant composée de 6 grandes vignettes dans l'ensemble) de l'anar Tardi dans l'univers de l'anar Malet ( qui se ressemble... ), 'Brouillard au pont de Tolbiac' est une adaptation datant de 1982 du roman éponyme de Léo Malet (1909-1996) datant de 1956, qui fait partie des 'Nouveaux mystères de Paris' (une série de 15 aventures de Nestor Burma -tous les livres (34 au total) tournant autour de ce personnage ne faisant pas partie de cette série- parues entre 1955 et 1959 qui ont pour particularité de se dérouler dans un arrondissement précis de la ville) et dont l'action, située dans le XIII arrondissement en 1956, concerne des faits qui se sont produits en 1927 d'abord, puis en 1936 ensuite.L'anar Nestor Burma (on s'entend toujours mieux entre gens de bonne compagnie), qui a une grande pratique des bistrots, mène une enqute à la demande d'une troublante gitane, une vendeuse de fleurs, concernant la mort par violence d'Abel Benoit, ex Albert le Nantais, chiffonnier de son état, qui a bien connu notre détective de choc, toujours à la recherche d'un morceau de pain, d'un abri et d'un peu d'amour, il y a bien longtemps.C'est en Novembre, le mois des morts, essentiellement de nuit et sous la pluie, que Malet et Tardi dénouent les fils de cette morbide fantaisie qui pue la misère et le malheur, d'un foyer végétalien au club des insurgés, dans une ambiance de roman noir marquée par les déceptions et les désillusions, dans le brouillard, sous les réverbères blafards et sur les pavés luisants, dans les petits bars décrépits et les environs du Pont de Tolbiac, en une symphonie funèbre à laquelle le destin, implacable, met fin, brutalement, un petit matin calme.A ne pas manquer évidemment si vous aimez les atmosphères et ses gueules !
Première incursion en 67 pages en noir et blanc (chaque planche étant composée de 6 grandes vignettes dans l'ensemble) de l'anar Tardi dans l'univers de l'anar Malet ( qui se ressemble... ), 'Brouillard au pont de Tolbiac' est une adaptation datant de 1982 du roman éponyme de Léo Malet (1909-1996) datant de 1956, qui fait partie des 'Nouveaux mystères de Paris' (une série de 15 aventures de Nestor Burma -tous les livres (34 au total) tournant autour de ce personnage ne faisant pas partie de cette série- parues entre 1955 et 1959 qui ont pour particularité de se dérouler dans un arrondissement précis de la ville) et dont l'action, située dans le XIII arrondissement en 1956, concerne des faits qui se sont produits en 1927 d'abord, puis en 1936 ensuite.L'anar Nestor Burma (on s'entend toujours mieux entre gens de bonne compagnie), qui a une grande pratique des bistrots, mène une enqute à la demande d'une troublante gitane, une vendeuse de fleurs, concernant la mort par violence d'Abel Benoit, ex Albert le Nantais, chiffonnier de son état, qui a bien connu notre détective de choc, toujours à la recherche d'un morceau de pain, d'un abri et d'un peu d'amour, il y a bien longtemps.C'est en Novembre, le mois des morts, essentiellement de nuit et sous la pluie, que Malet et Tardi dénouent les fils de cette morbide fantaisie qui pue la misère et le malheur, d'un foyer végétalien au club des insurgés, dans une ambiance de roman noir marquée par les déceptions et les désillusions, dans le brouillard, sous les réverbères blafards et sur les pavés luisants, dans les petits bars décrépits et les environs du Pont de Tolbiac, en une symphonie funèbre à laquelle le destin, implacable, met fin, brutalement, un petit matin calme.A ne pas manquer évidemment si vous aimez les atmosphères et ses gueules !
Un brouillard qui submerge la lecture... .
Dans ce premier volume de la série des Nestor Burma en BD, on retrouve le célèbre détective enqutant dans le XIIIème arrondissement. Un vrai plaisir de se plonger dans le Paris de cette époque, personnage principal de la plupart des ouvrages de l'auteur. Avec son trait inimitable et reconnaissable entre mille, Tardi sait restituer une atmosphère très proche des films policiers de cette époque, avec ses cafés enfumés (on croirait sentir l'odeur de Gauloises !), ses trottoirs mouillés, ses rues glauques et désertes, ses perspectives fantomatiques dans un Paris pas trop glamour. Le noir et blanc est ici plus qu'approprié.Toutefois, autant j'ai apprécié le dessin et l'ambiance, autant la lecture m'a semblé poussive et fastidieuse. Un manque de rigueur dans le scénario ? Trop de personnages ? Trop de dialogues ? Etais-je trop fatigué ? Un peu de tout a, sans doute. Tardi, qui s'est inspiré ici d'un roman de Léo Malet, n'a peut-tre pas su correctement synthétiser les textes (d'une qualité littéraire certaine), qui ont parfois tendance à prendre le pas sur l'image en terme de volume. C'est dommage, mais fort heureusement, l'auteur a produit d'autres uvres autrement plus marquantes. Certes, le polar n'est pas un genre que j'affectionne, donc je ne suis peut-tre pas forcément objectif.
Dans ce premier volume de la série des Nestor Burma en BD, on retrouve le célèbre détective enqutant dans le XIIIème arrondissement. Un vrai plaisir de se plonger dans le Paris de cette époque, personnage principal de la plupart des ouvrages de l'auteur. Avec son trait inimitable et reconnaissable entre mille, Tardi sait restituer une atmosphère très proche des films policiers de cette époque, avec ses cafés enfumés (on croirait sentir l'odeur de Gauloises !), ses trottoirs mouillés, ses rues glauques et désertes, ses perspectives fantomatiques dans un Paris pas trop glamour. Le noir et blanc est ici plus qu'approprié.Toutefois, autant j'ai apprécié le dessin et l'ambiance, autant la lecture m'a semblé poussive et fastidieuse. Un manque de rigueur dans le scénario ? Trop de personnages ? Trop de dialogues ? Etais-je trop fatigué ? Un peu de tout a, sans doute. Tardi, qui s'est inspiré ici d'un roman de Léo Malet, n'a peut-tre pas su correctement synthétiser les textes (d'une qualité littéraire certaine), qui ont parfois tendance à prendre le pas sur l'image en terme de volume. C'est dommage, mais fort heureusement, l'auteur a produit d'autres uvres autrement plus marquantes. Certes, le polar n'est pas un genre que j'affectionne, donc je ne suis peut-tre pas forcément objectif.
Un bijou dans le genre .
Léo Malet est surtout réputé pour avoir écrit des romans inégals, tantt excellent, tantt passable. Il est hors de tout doute que "Brouillard" entre dans ses meilleurs, aux ctés de "120 rue de la Gare" et "Le soleil n'est pas pour nous". Le passage autobiographique sur le rendez-vous anarchiste est tout à fait mémorable, d'un point de vue à la fois littéraire et historique.De plus, il s'agit d'un domaine où Tardi excelle, noir à souhait, mais aussi plein de décors unique à Paris, au pont de Tolbiac, et à leurs acolytes. À recommander chaudement à tous les amateurs du genre.
Léo Malet est surtout réputé pour avoir écrit des romans inégals, tantt excellent, tantt passable. Il est hors de tout doute que "Brouillard" entre dans ses meilleurs, aux ctés de "120 rue de la Gare" et "Le soleil n'est pas pour nous". Le passage autobiographique sur le rendez-vous anarchiste est tout à fait mémorable, d'un point de vue à la fois littéraire et historique.De plus, il s'agit d'un domaine où Tardi excelle, noir à souhait, mais aussi plein de décors unique à Paris, au pont de Tolbiac, et à leurs acolytes. À recommander chaudement à tous les amateurs du genre.
C'est un livre intéressant pour ceux qui débutent. .
Ce livre est vraiment intéressant car il y a de l'action, quelque passage long mais c'est un livre très bien. Il y a une histoire d'amour, pas celle qui sont à l'eau de rose, on se met très bien dans le livre et il se lit bien.
Ce livre est vraiment intéressant car il y a de l'action, quelque passage long mais c'est un livre très bien. Il y a une histoire d'amour, pas celle qui sont à l'eau de rose, on se met très bien dans le livre et il se lit bien.
Related Post
Product Details
EAN : 9782203334137Weight : 1 pounds
Height : 1 inches
Length : 12 inches
Width : 9 inches
Author : Jacques Tardi
Binding : Broché
Manufacturer : Casterman
PublicationDate : 1993-05-04
Publisher : Casterman
SKU : 000318WC
Studio : Casterman
Ou acheter
Vous pouvez acheter ce Brouillard au pont de Tolbiac sur amazon . Cliquez ici pour lire plus.
