
Prix : EUR 22,00

This review is from : Istanbul : Souvenirs d'une ville
livre remarquable .
Il allie les souvenirs autobiographiques de l'auteur et l'histoire de cette ville, la petite et la grande histoire qui s'entremlent inextricablement.La dimension picturale avec des photos de la ville et de la vie de Pamuk accrot l'intért du texte. Il donne envie d'en savoir plus sur la grandeur et surtout la décadence, vécue par l'auteur et les habitants du XX ème siècle, de l'empire ottoman. La tristesse exhalée par les murs de la ville et chantée par Pamuk comme un sentiment très personnel, combattue par l'aspiration à l'occidentalisation des familles riches, comme signe de "distinction", le refus de l'orientalisme des écrivains franais (T. Gauthier, G de Nerval et Flaubert), la crainte de la religion, voici quelques thèmes qui parcourent ce livre remarquable. On aimerait avoir le point de vue des Stambouliotes actuels sur ce livre car l'auteur a un point de vue très personnel, intimiste mme, et pas politiquement correct ; il fait oeuvre de poète, pas d'homme politique et nous nous en réjouissons.
livre remarquable .
Il allie les souvenirs autobiographiques de l'auteur et l'histoire de cette ville, la petite et la grande histoire qui s'entremlent inextricablement.La dimension picturale avec des photos de la ville et de la vie de Pamuk accrot l'intért du texte. Il donne envie d'en savoir plus sur la grandeur et surtout la décadence, vécue par l'auteur et les habitants du XX ème siècle, de l'empire ottoman. La tristesse exhalée par les murs de la ville et chantée par Pamuk comme un sentiment très personnel, combattue par l'aspiration à l'occidentalisation des familles riches, comme signe de "distinction", le refus de l'orientalisme des écrivains franais (T. Gauthier, G de Nerval et Flaubert), la crainte de la religion, voici quelques thèmes qui parcourent ce livre remarquable. On aimerait avoir le point de vue des Stambouliotes actuels sur ce livre car l'auteur a un point de vue très personnel, intimiste mme, et pas politiquement correct ; il fait oeuvre de poète, pas d'homme politique et nous nous en réjouissons.

Istanbul : Souvenirs d'une ville Reviews
Un voyage livresque .
J'ai acheté ce livre séduit principalement par la couverture. Je trouvais ce crépuscule orangé magnifique. Je me suis dit que s'il restituait l'atmosphère du livre, nul doute que j'allais passer un bon moment à le lire.De fait, le début du livre m'a déu: les 200 premières pages (jusqu'à la description de l'encyclopédie de Kou) sont vraiment longues. Les plus longues du roman. La mise en place du récit demande de la patience au lecteur.Une fois compris que "il n'est pas d'autre centre de la ville que soi-mme", comme Pamuk le dit lui-mme, la lecture se fait beaucoup plus fluide. Prenez le temps de vous promener avec Pamuk dans les venelles sombres du vieil Istanbul accompagné de Nerval, Gautier ou encore Flaubert. Regardez avec lui les vapur et les caques qui traversent le détroit, frémissez aux incendies des yali...Voilà l'exemple mme d'un homme qui ne vit pas dans une ville, mais qui vit sa ville.Remarquable enfin est le jeu d'images qui accompagne ce roman. Les images aident bien à restituer tant les lieux que leur atmosphère.
Un voyage livresque .
J'ai acheté ce livre séduit principalement par la couverture. Je trouvais ce crépuscule orangé magnifique. Je me suis dit que s'il restituait l'atmosphère du livre, nul doute que j'allais passer un bon moment à le lire.De fait, le début du livre m'a déu: les 200 premières pages (jusqu'à la description de l'encyclopédie de Kou) sont vraiment longues. Les plus longues du roman. La mise en place du récit demande de la patience au lecteur.Une fois compris que "il n'est pas d'autre centre de la ville que soi-mme", comme Pamuk le dit lui-mme, la lecture se fait beaucoup plus fluide. Prenez le temps de vous promener avec Pamuk dans les venelles sombres du vieil Istanbul accompagné de Nerval, Gautier ou encore Flaubert. Regardez avec lui les vapur et les caques qui traversent le détroit, frémissez aux incendies des yali...Voilà l'exemple mme d'un homme qui ne vit pas dans une ville, mais qui vit sa ville.Remarquable enfin est le jeu d'images qui accompagne ce roman. Les images aident bien à restituer tant les lieux que leur atmosphère.
Istanbul : Souvenirs d'une ville Opinions
un rve réel .
Si vous aimez la ville et les conteurs d'Orient, alors vous aimerez ce livre dont la sensibilité se cache (à peine) derrière la fumée des "vapeurs" du Bosphore. Une collection unique de nombreuses photos N & B illustrent ce poème en prose et font glisser le lecteur vers ses souvenirs propres.
un rve réel .
Si vous aimez la ville et les conteurs d'Orient, alors vous aimerez ce livre dont la sensibilité se cache (à peine) derrière la fumée des "vapeurs" du Bosphore. Une collection unique de nombreuses photos N & B illustrent ce poème en prose et font glisser le lecteur vers ses souvenirs propres.
Le meilleur guide touristique... .
Il faut avoir ce livre dans son sac pour découvrir la ville et remonter le Bosphore. On fait ainsi deux voyages en un en s'étonnant que la vision d'Orhan Pamuk soit à la fois si personnelle et si proche de ce ce que l'on peut ressentir soi-mme en arpentant les ruelles d'Istanbul: le poids de la grandeur passée, la tristesse des habitants, le choc des cultures... Quel beau livre!
Il faut avoir ce livre dans son sac pour découvrir la ville et remonter le Bosphore. On fait ainsi deux voyages en un en s'étonnant que la vision d'Orhan Pamuk soit à la fois si personnelle et si proche de ce ce que l'on peut ressentir soi-mme en arpentant les ruelles d'Istanbul: le poids de la grandeur passée, la tristesse des habitants, le choc des cultures... Quel beau livre!
Plongeon dans la vie d'un autre .
En lisant Pamuk, j'ai eu l'impression de vivre son enfance (enfin, l'enfance qu'il nous présente). Ca m'a aussi rappellé des souvenirs de jeunesse, comme l'école buissonniere. On peut ainsi mieux sentir les légères différences de culture, et la comparaison est facilitée par les références aux auteurs franais.Un petit hic: Dans le volume qui m'a été livré quelques 50 pages (consécutives, vers le milieu du livre) sont reliées à l'envers. On lit normalement chaque page, mais on passe les pages dans le sens oposé (de gauche à doite). Vu qu'il n'y a pas de page manquante, cela doit tre assez systématique, donc attendez-vous à cela.
En lisant Pamuk, j'ai eu l'impression de vivre son enfance (enfin, l'enfance qu'il nous présente). Ca m'a aussi rappellé des souvenirs de jeunesse, comme l'école buissonniere. On peut ainsi mieux sentir les légères différences de culture, et la comparaison est facilitée par les références aux auteurs franais.Un petit hic: Dans le volume qui m'a été livré quelques 50 pages (consécutives, vers le milieu du livre) sont reliées à l'envers. On lit normalement chaque page, mais on passe les pages dans le sens oposé (de gauche à doite). Vu qu'il n'y a pas de page manquante, cela doit tre assez systématique, donc attendez-vous à cela.
Un peu déu .
J'avais lu et appréciéMon nom est Rougemme si l'ouvrage est ardu, je m'intéresse à la Turquie sous tous ses aspects et j'adore Istanbul mme si je n'y ai séjourné que deux fois quatre jours. J'étais donc tous disposé à lire ce livre qui m'attendait dans ma bibliothèque depuis quelque temps.Orhan Pamuk conjugue un récit de jeunesse avec ses réflexions sur sa ville dont il brosse un portrait multiple inspiré également par le regard passé des Occidentaux.Le résultat est plutt mélancolique et noir car son Istanbul est très hivernal, gris et neigeux à l'opposé du souvenir que j'en ai (y compris en hiver). Dommage que l'édition de poche ne rende pas justice aux photos qui jalonnent l'ouvrage.Je suis donc un peu déu mais je ne manquerai pas de le relire quand je retournerai sur les bords du Bosphore.
J'avais lu et appréciéMon nom est Rougemme si l'ouvrage est ardu, je m'intéresse à la Turquie sous tous ses aspects et j'adore Istanbul mme si je n'y ai séjourné que deux fois quatre jours. J'étais donc tous disposé à lire ce livre qui m'attendait dans ma bibliothèque depuis quelque temps.Orhan Pamuk conjugue un récit de jeunesse avec ses réflexions sur sa ville dont il brosse un portrait multiple inspiré également par le regard passé des Occidentaux.Le résultat est plutt mélancolique et noir car son Istanbul est très hivernal, gris et neigeux à l'opposé du souvenir que j'en ai (y compris en hiver). Dommage que l'édition de poche ne rende pas justice aux photos qui jalonnent l'ouvrage.Je suis donc un peu déu mais je ne manquerai pas de le relire quand je retournerai sur les bords du Bosphore.
Un visage critique historique et autobiographique d'Istanbul .
Je désirai visiter Istanbul; ce fut ma première motivation qui m'a poussé à acheter ce roman. La deuxième fut la notarié de l'auteur et ses précédents succès.Le mélange d'ancienne photos et des mots est une idée intelligente. Il s'agit d'un bon livre, très bien écrit, plus autobiographique qu'historique ou romanesque. Il a le mérite de rendre les turques, ou plutt les stambouliotes, plus proche de nous, presque européens tout en marquant les différences culturelles. C'est aussi un parcours dans l'enfance de l'auteur, une visite guidée dans la ville historique avec des références à son enfance et à ses gots artistiques et littéraires.Le manque d'histoire, d'action ou de suspens, donne une langueur un peu monotone qui explique pourquoi je n'ai mis que quatre étoiles. En revanche, si vous souhaitez visiter Istanbul, ce livre est hautement recommendé, car il apporte un regard critique et neuf sur cette ville."...à l'époque où il était des Konak dépendants du palais, chaque lame de leur parquet gémissait bruyamment au moindre pas ; des balanoires cassées dans les parcs déserts, des sirènes des vapur dans le brouillard, des murailles de la ville, héritées de Bysance, dans un état de décrépitude avancé, des emplacements de marché qu'on vide le soir venu, des anciens tecke tombés en ruine, des dizaines de milliers d'immeubles à la face décolorée par la pollution, la rouille, la suie et la poussière, des mouettes qui restent sans bouger sous la pluie, perchées sur les pintons rouillées couverts de moules et de mousse, des immenses konak centenaires qui crachent pare une unique cheminée une fluette fumée visible seulement les jours les plus froids de l'année, des foules d'hommes pchant sur le pont de galata, des grandes salles froides des bibliothèques, des photographes ambulants, de l'odeur de mauvaise haleine des ces salles transformées en lmieux de projection de fims porno où les hommes pénètrent tous honteux..."
Je désirai visiter Istanbul; ce fut ma première motivation qui m'a poussé à acheter ce roman. La deuxième fut la notarié de l'auteur et ses précédents succès.Le mélange d'ancienne photos et des mots est une idée intelligente. Il s'agit d'un bon livre, très bien écrit, plus autobiographique qu'historique ou romanesque. Il a le mérite de rendre les turques, ou plutt les stambouliotes, plus proche de nous, presque européens tout en marquant les différences culturelles. C'est aussi un parcours dans l'enfance de l'auteur, une visite guidée dans la ville historique avec des références à son enfance et à ses gots artistiques et littéraires.Le manque d'histoire, d'action ou de suspens, donne une langueur un peu monotone qui explique pourquoi je n'ai mis que quatre étoiles. En revanche, si vous souhaitez visiter Istanbul, ce livre est hautement recommendé, car il apporte un regard critique et neuf sur cette ville."...à l'époque où il était des Konak dépendants du palais, chaque lame de leur parquet gémissait bruyamment au moindre pas ; des balanoires cassées dans les parcs déserts, des sirènes des vapur dans le brouillard, des murailles de la ville, héritées de Bysance, dans un état de décrépitude avancé, des emplacements de marché qu'on vide le soir venu, des anciens tecke tombés en ruine, des dizaines de milliers d'immeubles à la face décolorée par la pollution, la rouille, la suie et la poussière, des mouettes qui restent sans bouger sous la pluie, perchées sur les pintons rouillées couverts de moules et de mousse, des immenses konak centenaires qui crachent pare une unique cheminée une fluette fumée visible seulement les jours les plus froids de l'année, des foules d'hommes pchant sur le pont de galata, des grandes salles froides des bibliothèques, des photographes ambulants, de l'odeur de mauvaise haleine des ces salles transformées en lmieux de projection de fims porno où les hommes pénètrent tous honteux..."
ouvrage et travail superbes .
Continuité d'une exposition photographique visitée cet été à Lectoure (32), consacré à Monsieur Ara Güler. Ouvrage vivement conseillé à tous les amoureux d'Istanbul et de la Turquie.A rapprocher du travail du photographe franais Henri Cartier-Bresson.
Continuité d'une exposition photographique visitée cet été à Lectoure (32), consacré à Monsieur Ara Güler. Ouvrage vivement conseillé à tous les amoureux d'Istanbul et de la Turquie.A rapprocher du travail du photographe franais Henri Cartier-Bresson.
Istambul .
Beau livre, sensible mélangeant souvenirs personnels et atmosphère de la ville. pour ceux qui iront à Istambul mais pour les autres aussi !
Beau livre, sensible mélangeant souvenirs personnels et atmosphère de la ville. pour ceux qui iront à Istambul mais pour les autres aussi !
Product Details
EAN : 9782070776276Weight : 2 pounds
Height : 2 inches
Length : 9 inches
Width : 6 inches
Author : Orhan Pamuk
Binding : Broché
Manufacturer : Editions Gallimard
PublicationDate : 2007-05-10
Publisher : Editions Gallimard
SKU : 9782070776276olfa
Studio : Editions Gallimard
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